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mis ; quel est le vrai ? — Ils me proposent vingt
visages
que je puis à peine reconnaître. Reste le monde, — les choses, les fa
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d pas le sujet par l’intérieur, mais il taille ce
visage
dans une pâte riche et un peu lourde, son pinceau la palpe, la presse
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iles, d’une plus grande certitude intérieure. Les
visages
sont plus calmes, les couleurs s’avivent, le soleil est sur le point
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mais une grande mèche insolente retombe devant le
visage
. Aurèle tient un livre ouvert, et ce n’est pas je pense qu’il le lise
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encadrer des glaces. Et plaise aux dieux que les
visages
qui s’y reflèteront soient aussi beaux que ceux qu’il peint ou modèle
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ait aussi : une fièvre faisait s’épanouir sur son
visage
je ne sais quel plaisir cruel. C’était un jeu très simple où l’esprit
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’heure anxieuse et mélancolique où l’on quitte ce
visage
aimé pour d’autres plus beaux peut-être, mais inconnus. Voilà que la
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un brusque faisceau de lumière m’apparaît avec le
visage
même de mon amour. Je me sens voluptueusement perdre pied. Vertige de
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quitta la scène, un reflet balaya le parterre, le
visage
de mon voisin m’apparut, pâle dans son collier de barbe noire. Je sen
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ntain, Aurélia lui répond d’un regard pareil. Des
visages
naissent comme des étoiles dans un halo, comme les couleurs sous les
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ans le temps et l’espace. Cent années et tous les
visages
aimés revivent dans cette coupe de songes avec toutes leurs illusions
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res à se regarder dans les yeux. Il varie sur son
visage
les jeux de lumière et de sentiments. Il découvre une sorte de rire a
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rité. Peut-être te reconnaîtrais-tu sous un autre
visage
. Car oublier son visage, ne serait-ce pas devenir un centre de pur es
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naîtrais-tu sous un autre visage. Car oublier son
visage
, ne serait-ce pas devenir un centre de pur esprit ? » C’est un premie
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gards. Stéphane rendu à la santé écrivait : « Ton
visage
me cache tous les miroirs » — à une femme qu’il aimait. m. « Miroir
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in et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au
visage
de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici da
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vent autour du monde où nous vivons parquent les
visages
les sons brassent les lueurs des messages et des sanglots perdus qui
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ton nom même avec l’accent de notre amour et mon
visage
est immobile tourné vers l’ombre où tu m’entends. III Fais rentre