1 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
1 ins leur nombre dans la pluie Autour de toi les visages qui fuient — l’éclair noyé dans ses yeux détournés ! — tout se re
2 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
2 Jeune Europe (4 décembre 1933)g Que le visage de l’Europe ait changé, depuis dix ans, plus qu’il ne l’avait fait de
3 uveau organique, d’un afflux de sèves saines ? Ce visage étrange de l’Europe est-il celui d’un nouveau venu, ou bien y disting
4 rimacer d’une grimace fâcheusement américaine, le visage rajeuni de l’Europe. En vérité, et c’est une des observations capital
3 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
5 e » dont nous connaissons désormais le monstrueux visage  ? — « Nous sommes sur la terre décisive… » Antithétique — an-archique
4 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
6 es bourgeois s’obstinent à nommer l’ordre social. Visage de l’État, Raison d’État, semblable aux raisons obscures et implacabl
7 ez un de ces studios bien nus, où la vie prend un visage tellement abstrait qu’on n’arrive plus même à s’y aimer : Colette a d
5 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
8 m’approcher : la vision est un acte. Vision et visage La vision relie et sépare. Passant du sujet à l’objet, elle les un
9 n pourrait dire de la vision, on peut les dire du visage . La langue allemande ne connaît qu’un mot pour visage et vision : Ges
10 ge. La langue allemande ne connaît qu’un mot pour visage et vision : Gesicht. Quelle est donc cette parenté des apparences ? S
11 tte parenté des apparences ? Si la vision voit le visage , et de la sorte, s’en distingue, rappelons-nous qu’elle a son siège a
12 pelons-nous qu’elle a son siège au centre même du visage . Sans visage il n’est plus de vision. Ou l’inverse. Ainsi le je et le
13 u’elle a son siège au centre même du visage. Sans visage il n’est plus de vision. Ou l’inverse. Ainsi le je et le tu sont dist
14 i qui l’a créé. » (Col. 3.10) Sur la vision et le visage  : « Nous tous, qui, le visage découvert contemplons comme dans un mir
15 Sur la vision et le visage : « Nous tous, qui, le visage découvert contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nou
16 re de notre vocation et la forme visible de notre visage , il y a le péché, et les abîmes du temps. Dans le monde de la mesure
17 oient « les yeux de la foi », il semble que notre visage n’en soit qu’une mauvaise épreuve, déjà brûlée, ici et là, ridée froi
18 symphonies, danses, jardins, temples, statues, —  visages  ! Dans l’enfance de la lumière. L’image physionomique de l’Univers
19 autre part, bâtissent et soutiennent l’édifice du visage de l’homme. Kassner remarque qu’à la lecture des grands moralistes fr
20 s une phrase qui se rapporte à l’expression ou au visage . Même La Bruyère, physionomiste par tempérament, ne voit partout que
21 omme « l’extérieur » de l’homme, mais non pas son visage . Pour lui comme pour tous les autres (à l’exception de Pascal), l’hom
22 nous, il nous faut choisir : ou l’anecdote, ou le visage . L’expérience montre constamment que les hommes qui savent des anecdo
23 l’extension de son domaine… Il est le maître des visages , des anatomies, des machines. Il sait de quoi se fait un sourire ; il
24 bitées ; enfin je finis par me dire ; je vois des visages de générations passées — cette contrée est couverte par les images d’
25 de, ou plutôt une image du monde, dont l’étude du visage n’est qu’un particulier, à vrai dire privilégié. 24. La réaction ant