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emps de l’acte vient s’inscrire sur les traits du
visage
héroïque. Dans cette chair qui doit vieillir, la tension de la mort e
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Qu’est-ce que la personne ? C’est la vision et le
visage
du héros, sa vision contre son visage, sa vision qui crée son visage.
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ision et le visage du héros, sa vision contre son
visage
, sa vision qui crée son visage. Le visage appartient au temps, mais l
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vision contre son visage, sa vision qui crée son
visage
. Le visage appartient au temps, mais la vision à la parole dont elle
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tre son visage, sa vision qui crée son visage. Le
visage
appartient au temps, mais la vision à la parole dont elle procède, et
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ue et fiévreux qui peuple nos cités, l’homme sans
visage
et sans prochain, — sans vocation ! — s’imagine que l’acte viendra co
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algie, et son regard n’est pas une vision dans un
visage
, mais une manière de loucher vers « les autres », une chaîne qui le l
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? Me voici seul sur le chemin ; mais je vois des
visages
fraternels où s’agitait la foule confuse et menaçante. Nous ne voyons
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foule confuse et menaçante. Nous ne voyons aucun
visage
ailleurs que dans l’acte d’aimer. 7. Toute vocation est sans précé
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nt, et dès l’origine. C’est pourquoi l’homme a un
visage
et une vision, ce que n’ont pas les animaux ; c’est pourquoi l’homme