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le qu’ils exprimaient par le terme de face, ou de
visage
, mais cela ne rendait pas compte de l’idée de relation et de rôle dis
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un beau paysage ni les yeux à leur place dans un
visage
. Depuis vingt ans au moins toute une critique propage ses gémissement
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i des paysages, signes du sentiment, et celui des
visages
, chiffres de l’âme. Paysages et visages n’existent à vrai dire que po
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celui des visages, chiffres de l’âme. Paysages et
visages
n’existent à vrai dire que pour notre œil humain auquel ils n’apparai
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es désirables, des paysages qui se composent, des
visages
qui nous regardent — apparences ou mirages aux yeux de la science, ap
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its lyriques ; et encore moins à perpétrer sur le
visage
humain une défiguration systématique, délibérément délirante, comme P
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n, c’est le désir féminin qui crée « l’homme sans
visage
», l’homme d’une nuit sans lendemains qui geignent, l’homme du plaisi
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nde de notre vie présente que se dessine le futur
visage
du monde. On ne saurait trouver meilleur ouvrage que L’Avenir est no