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aire une étude psychologique, en observant sur le
visage
de celui-ci les expressions changeantes qu’y imprimait la passion. Il
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ctrines, reparaître les traits ironiques du grand
visage
de Kierkegaard, il me vient à l’esprit une image dont le burlesque n’
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a pitié énigmatique d’un Dostoïevski. Ici tout le
visage
de Kierkegaard se recompose. Et l’on voit que son rire n’est rien que
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rist, un homme oserait-il s’avancer et cracher au
visage
du Fils de Dieu ? Mais qu’il soit foule, il aura ce « courage », — il