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phares d’automobiles étoilent le brouillard, les
visages
se cachent dans des fourrures, personne ne sait la richesse de ta vie
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e consolante et libératrice. Mais tu m’offrais un
visage
un peu crispé, signe d’une ironie secrète et pour moi douloureuse enc
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onter. Je finissais par vous voir partout. Chaque
visage
de femme révélait soudain un trait de votre visage. Il aurait fallu c
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isage de femme révélait soudain un trait de votre
visage
. Il aurait fallu courir après celle-là qui venait de tourner à l’angl
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e luxe s’était arrêté tout près de moi. Je vis un
visage
à l’intérieur se pencher vers la vitre… Je montai. Il n’y avait que d
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nt la folie douloureuse qui devait contracter mon
visage
. Je promenais sur tous des regards angoissés, avides, implorants. Oh
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cuse pas. À peine si je puis encore évoquer votre
visage
. Peut-être ne vous ai-je pas vraiment aimée, mais bien ce goût profon
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n ivre d’un projecteur, des signes fatidiques, le
visage
d’un ange. i. « Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle », R
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ncontre parmi les éclairs d’un luxe mécanique, le
visage
dans sa fourrure. Elle découvre en passant près de lui le sourire d’a
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oux, le travail jusqu’à l’aube, la naissance d’un
visage
dans ma mémoire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…) De là, je l