1 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
1 nt la contagion de ce mal, changent subitement de visage , se raidissent, se ferment à tout raisonnement, à toute discussion sé
2 ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le visage de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
2 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
3 nose, le médecin parfois souffle doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souffle de l’Esprit, passant
4 être que d’un souffle de l’Esprit, passant sur le visage torturé du siècle, que nous devons attendre un vrai réveil des hommes
5 on aime l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le visage levé, vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde