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nt la contagion de ce mal, changent subitement de
visage
, se raidissent, se ferment à tout raisonnement, à toute discussion sé
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ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le
visage
de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
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nose, le médecin parfois souffle doucement sur le
visage
du patient. Ce n’est peut-être que d’un souffle de l’Esprit, passant
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être que d’un souffle de l’Esprit, passant sur le
visage
torturé du siècle, que nous devons attendre un vrai réveil des hommes
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on aime l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le
visage
levé, vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde