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taire contre l’artificiel, c’est le langage et le
visage
de Ramuz. C’est proprement, sa « raison d’être ». Ces cinq figures so
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ses traits. Je ne me lasse pas de méditer sur ce
visage
dont Klauer modela l’effigie passionnément triste et dominatrice. Lar
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emps de l’acte vient s’inscrire sur les traits du
visage
héroïque. Dans cette chair qui peut vieillir, la tension de la mort e
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Qu’est-ce que la personne ? C’est la vision et le
visage
du héros, sa vision contre son visage, sa vision qui crée son visage.
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ision et le visage du héros, sa vision contre son
visage
, sa vision qui crée son visage. Le visage appartient au temps, mais l
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vision contre son visage, sa vision qui crée son
visage
. Le visage appartient au temps, mais la vision à la parole dont elle
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tre son visage, sa vision qui crée son visage. Le
visage
appartient au temps, mais la vision à la parole dont elle procède, et
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ue et fiévreux qui peuple nos cités, l’homme sans
visage
et sans prochain, — sans vocation ! — s’imagine que l’acte viendra co
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? Me voici seul sur le chemin ; mais je vois des
visages
, où s’agitait la foule. Nous ne voyons aucun visage ailleurs que dans
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ages, où s’agitait la foule. Nous ne voyons aucun
visage
ailleurs que dans l’acte d’aimer. 7.Toute vocation est sans précéd
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ent et dès l’origine. C’est pourquoi l’homme a un
visage
et une vision, ce que n’ont pas les animaux ; c’est pourquoi l’homme
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ctrines, reparaître les traits ironiques du grand
visage
de Kierkegaard, il me vient à l’esprit une image dont le burlesque n’
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a pitié énigmatique d’un Dostoïevski. Ici tout le
visage
de Kierkegaard se recompose. Et l’on voit que son rire n’est rien que
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rist, un homme oserait-il s’avancer et cracher au
visage
du Fils de Dieu ? Mais qu’il soit foule, il aura ce « courage », — il
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t transformé en domaine. Il faut le lire comme un
visage
. Qu’est-ce qu’un domaine, qu’est-ce qu’une propriété réelle, sinon l’
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’écrient : Esprit ! Esprit ! Mais je regarde leur
visage
. Si c’était vrai, ça se verrait… Ainsi la clé de toute création est
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rait… Ainsi la clé de toute création est dans le
visage
de l’homme. Qu’un homme détienne un pouvoir créateur, c’est-à-dire un
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. Mais comment Ramuz croirait-il à cette âme sans
visage
, statistique, à ce mythe purement cérébral ? « Je ne distingue l’être
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d’ordinaire l’élément le plus impersonnel dans un
visage
, le plus racial ou animal. Celui de ce croquis n’est que l’indication
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z. Je dirai presque d’un rébus, c’est-à-dire d’un
visage
qu’il s’agit de déchiffrer dans un environnement d’objets qui le déli
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un environnement d’objets qui le délimitent. Le
visage
est vision et expression : œil et bouche ; il est aussi élaboration e
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un terme purement moral. La dissimulation dans un
visage
est, au contraire, un fait physiologique. Stravinsky l’a souligné en
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fécond, c’est d’admettre que tout se voit sur un
visage
. Il n’existe, pour lui, aucun refoulement. Ou plutôt tout refoulement
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ainsi que la formidable moustache dont s’orne ce
visage
révèle exactement autant de choses qu’elle en cache. Et peut-être d’a
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prudemment mesurées. Ainsi la dissimulation de ce
visage
est style. Maintenant, les objets. Tout ce que le résumé critique de
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des contingences dans cette curieuse ellipse d’un
visage
. IVFormule d’une personne Leur poésie ne commence pas pour eux
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cret, fût-il même un silence, laisse une trace au
visage
de l’homme, modifie sa forme existante. « La figure a été faite sur l