1
fatigue d’un soir pluvieux, Paris, souffrance des
visages
et des corps, exercice perpétuel de charité dans une atmosphère extén
2
a bleuâtre obscurité, nul écriteau lisible et nul
visage
reconnaissable. Une course haletante et bousculée dans le dédale des
3
a fin de sa vie, un regard doux et perspicace, un
visage
aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait exactement
4
ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le
visage
de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
5
lanche, et soudain tout est propre et gai, et les
visages
se détendent. Nous venons de quitter les terres où s’étend l’ombre du
6
t aux hommes, nègres exceptés, je leur trouve des
visages
plutôt informes, mal finis. On dirait qu’on les a livrés un peu trop
7
nt que le bateau s’éloignait des mouchoirs et des
visages
. Le dernier fil, tes paupières l’ont coupé en s’abaissant sur des yeu
8
up de vent violent a jeté contre la façade et nos
visages
un tourbillon de feuilles et de grosses gouttes obliques. Entrée de l
9
a liberté et la démocratie montrent ici plus d’un
visage
. Comme ailleurs. Mais ici plus qu’ailleurs, on sent que liberté signi
10
evant nous venait d’apparaître une jeune femme au
visage
anguleux et couvert de taches de rousseur, la tête serrée dans un fou
11
d’une scène de famille, d’un geste intime ou d’un
visage
bien-aimé. Prenons-en donc notre parti. Sauf si l’on se borne à la gé
12
petisser méchamment tous les êtres, d’effacer les
visages
, et de multiplier les traits bizarres, les signes d’anxiété… 7 avr