1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 ente, plus réelle. Cette beauté n’est pas dans le visage de ma femme ; pourtant, sans ce visage, je ne la concevrais pas. Cett
2 as dans le visage de ma femme ; pourtant, sans ce visage , je ne la concevrais pas. Cette beauté n’est pas en moi, et pourtant
2 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
3 res à se regarder dans les yeux. Il varie sur son visage les jeux de lumière et de sentiments. Il découvre une sorte de rire a
4 rité. Peut-être se reconnaîtrait-on sous un autre visage . Oublier son visage, ne serait-ce pas devenir un centre de pur esprit
5 econnaîtrait-on sous un autre visage. Oublier son visage , ne serait-ce pas devenir un centre de pur esprit ?… Ou plutôt — et b
6 gards. Stéphane rendu à la santé écrivait : « Ton visage me cache tous les miroirs » — à une femme qu’il aimait. 2. Consola
3 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
7 enche… Maintenant un seul œil est visible dans ce visage décomposé en ombres et lueurs lentement mouvantes, un seul œil par où
4 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
8 eil nouveau. Et ceux qui le voyaient prenaient un visage neuf, leurs yeux devenaient forts et s’attendaient à l’éclat d’une lu
9 ennent les somnambules, le corps en paix, mais le visage affreusement nu. Il désirait un palais vide à la mesure de sa tristes
5 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
10 l reparaît peu avant le match, affreux à voir, le visage taché de boue, les vêtements en loques, les mains couvertes d’éraflur