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n histoire. Ainsi j’ai retrouvé l’Europe. Sur son
visage
et dans son expression certains traits accusés et tendus, mais aussi
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tout à l’heure, mais le voilà méconnaissable, le
visage
tuméfié, les vêtements en désordre. Physiquement la brute a perdu, ma
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lusieurs des rides que j’ai cru distinguer sur le
visage
spirituel du continent — je ne dis rien de son visage physique — ne t
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ge spirituel du continent — je ne dis rien de son
visage
physique — ne trahissent qu’une fatigue temporaire. Je n’ignore pas q