1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
1 re des trois romans : vous regardez longuement ce visage de femme et, peu à peu, c’est un paysage, c’est un pays, c’est une so
2 , dans le couchant, dans tout le monde visible le visage immense et innocent d’une petite fille ». Mais voici l’aveu décisif 
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
3 f », ce teint pâle, cette lourdeur dans le bas du visage , qui permet de reconnaître au premier regard un chef nazi. Si peu sér
4 ’on n’était pas sans pressentir dévoile enfin son visage ambigu. Les deux mythes les plus prestigieux de l’amour que l’on rêve
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
5 sans que j’en sois très étonné. Les contours des visages ne sont pas assez nets pour me retenir de passer de l’une à l’autre…
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
6 nage et de son masque, laissant alors paraître le visage . Entre les deux « abîmes » du monde magique, qui est le monde sans me
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
7 tteindre le Soi sans distinction, la Réalité sans visage , qui n’est ni ceci ni cela, mais qui est l’Immensité, disent les hind
6 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
8 Qu’il y ait de la consistance, des paysages, des visages , une Nature, autour de nous, qui apparaît désormais grâce et don, mir