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ils ont formé et transformé les hommes, modelé le
visage
de leurs pays ; mais déjà la plupart d’entre eux, en cette fin du xii
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t immédiate, à quel point la noblesse a modelé le
visage
de l’ancienne Suisse, et marqué ses mœurs et coutumes. Lorsque vous r
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écouvrir derrière les façades officielles le vrai
visage
de la Suisse une et diverse et les vraies dimensions de son passé, le
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des gens en gris, des gens en brun défilent, des
visages
s’immobilisent le long du quai, qui vais-je reconnaître ? Et plus rie
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ce sont de tels hommes qui donnent à un pays son
visage
, bientôt « traditionnel ». On répète qu’ils expriment l’âme de leur p
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fin de sa vie : un regard doux et perspicace, un
visage
aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait exactement
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re doré, presque plate elle aussi, côté gauche du
visage
beaucoup plus large que le droit, admirable de vie, de tendresse. Pui
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ble de vie, de tendresse. Puis le « souvenir d’un
visage
» : une plaque rectangulaire, très mince, deux carrés un peu arrondis