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étour, l’homme qui vous souffle sa fumée en plein
visage
, qui refuse d’abaisser sa « tonalité » dans la pièce voisine, qui vio
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nt la contagion de ce mal, changent subitement de
visage
, se raidissent, se ferment à tout raisonnement, à toute discussion, à
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onne pour distinguer cet homme de l’individu sans
visage
ou simple exemplaire de l’espèce, pareil à tous les autres à toutes f
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qui résulte de la non-vision des personnes et des
visages
, ce n’est rien qu’une image en nous119. L’homme qui prétend ne pas ê
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on insu. Son mariage. Son métier. Sa carrière. Le
visage
de sa maturité. Un certain équilibre entre soi et le monde, un déséqu
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puissance d’autrui, ici de l’État, cet Autre sans
visage
. Sommé de choisir entre la création immédiate d’emplois temporaires e
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ure, les yeux fixés sur ce point lumineux, sur ce
visage
au sourire extasié, et des larmes coulent sur les faces, dans l’ombre