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llerines est émouvant, masque plus vrai que leurs
visages
.) On éteint. Et c’est alors, d’un balcon qui domine les groupes, une
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ard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son bon
visage
où cette rosée divine fait perler une larme, la bénédiction de sa mus
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ent, Henny Porten immobile présente de profil son
visage
un peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un cinéma, l’ai-je
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mégarde… On se presse au bar assourdissant et les
visages
se prennent à vivre, dangereusement. Ô fête d’une époque où tout ce q
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hostile. Elle se tait. Alors je me tourne vers ce
visage
très blanc où les yeux d’un bleu nocturne se refusent… Quelle tendres
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d’où remonte notre peine. Ah ! surprendre sur un
visage
décontenancé, et jusque dans le rythme d’une respiration, l’envahisse
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tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon
visage
gris ; leurs yeux stupides me demandent où je n’ai pas dormi. Le seul
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us déverse dans cette foule et ces musiques, deux
visages
amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards a
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plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent
visages
, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à oublier
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es Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le
visage
impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostal
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mparées par un folkloriste aux yeux ardents et au
visage
mongol. Il jouait des phrases simples, tragiques, à peine modulées, q
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in et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au
visage
de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici da
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ns sa tristesse. Par moments il y a la Lune et le
visage
blanc de la femme debout contre le tronc. (Pour moi je demeure dans l
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e branche et la Lune éclairait à longs traits nos
visages
. Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La
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seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des
visages
devant l’atrocité de notre vie sociale ! Je baisse les yeux sur mon l
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ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le
visage
de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
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ne vaste pièce où j’étais seul devant l’admirable
visage
, debout au pied du lit, prolongeant le gisant, j’ai su que j’étais d’
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sais-je d’eux, qui me regardent ? Cette aïeule au
visage
émacié, coiffé de longues boucles noires, j’ai lu ses lettres. Derniè