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instant. C’est là la santé de la foi »10. Si nous
vivions
dans l’obéissance et dans la foi, il n’y aurait ni passé ni futur, ma
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sur le monde et l’unité du genre humain. Si nous
vivons
dans l’obéissance et dans la foi, l’histoire s’arrêterait comme l’Asp
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nous lui préférons nos vies : c’est pourquoi nous
vivons
dans l’Histoire, et dans l’absence, ou dans la nostalgie des temps qu
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ffet le symbole agrandi d’un désespoir qu’il sent
vivre
dans tous les cœurs. L’homme d’aujourd’hui méprise les religions. Il
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nes extérieures, à des ambitions inhumaines. Nous
vivons
à l’âge des mots d’ordre. L’on peut penser que c’est une espèce de pr
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amical du héros et de son débat, ce personnage a
vécu
dans ce siècle, où son nom ne cessera de grandir : Franz Kafka. De ce
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», suppose le débrayage de la pensée, sinon nous
vivrions
dans la plus effroyable anarchie matérielle. On nous dira que, cepend
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ain (et du présent), à la nécessité croissante de
vivre
sur ses réserves, enfin à une crise et à une carence de la création.
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it-il, écrivant cela ? Dans quelle illusion ai-je
vécu
? Ce n’est rien d’écrire, de faire une œuvre, de croire qu’on a quelq
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-chose. Encore faut-il savoir comment on y peut «
vivre
» ? C’est à cette question judicieuse que j’ai voulu répondre. Peut-ê
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anatisme. J’observe aussi qu’ils s’arrangent pour
vivre
plus mal que la population des faubourgs des grandes villes. Le goût
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cceptent leurs risques, c’est-à-dire acceptent de
vivre
, malgré l’État laïque qui leur conseille plutôt l’épargne. 15 octobre
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ra-t-elle fondée sur la réalité telle qu’elle est
vécue
et voulue par les hommes réels et concrets, ou bien sur la réalité te
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as plus marxistes que moi. Ils veulent avant tout
vivre
et travailler raisonnablement. Mais rien ne se présente pour les sout
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ar des retraités, des pensionnés, des assurés qui
vivent
dans la rouspétance contre ces « cochons-là » et dans la crainte de l
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emain. — Admettez que cela ne vous empêche pas de
vivre
assez bien, à votre idée. Vous avez l’air très satisfait de votre sit
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arriverez à leur tirer quelque chose de sensé, de
vécu
, de réel, — et qui renversera les conclusions cyniques des partisans
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trouve de bâcler son ouvrage, pour gagner de quoi
vivre
, tentation perpétuelle de changer de condition. Ils vous diront aussi
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l’épicière, quand on aborde le village où l’on va
vivre
. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleurs dans les jambe
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nir compte de ses circonstances. Sur ses bords ne
vivait
qu’une population nomade, qui portait l’uniforme de l’État, partout l
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, qu’un écrivain a bien deux fois plus de peine à
vivre
qu’un homme normal, mettons qu’un fonctionnaire c’était pour le flatt
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ter mon péché et ses effets dans le monde réel où
vivent
les hommes — où meurent les hommes. Reproches réciproques que s’ad
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uite deviendraient plus habiles à s’entendre et à
vivre
heureux ? « Changer la vie », criait l’enfant Rimbaud ! Et les intell
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e Dieu, et d’être élevés dans une même manière de
vivre
, et dans les mêmes coutumes ; car on n’entend point parmi nous parler
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ffaire de Dieu seul — mais bien la possibilité de
vivre
et de créer sa vérité — bonne ou mauvaise — contre les fous totalitai
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ui se déclare dans sa pureté. La plupart des gens
vivent
dans une confusion impensable, et n’en conçoivent pas de malaise. D’a
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ms de femmes, rien que pour regarder des êtres et
vivre
un moment auprès d’eux, le temps de trois stations, le temps d’imagin
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vertes frémissantes telles que j’en ai sans doute
vécues
, adolescent — et sûrement ce serait bien autre chose… La femme descen