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ris de l’hérésie manichéenne, et l’ont ainsi fait
vivre
jusqu’à nous et parmi nous, bien que vulgarisée et déprimée au point
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arer devant la cour son intention bien arrêtée de
vivre
désormais dans le Nevada. Il y reste six semaines, à l’hôtel, est alo
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e tient propre, à tous égards. » Cette volonté de
vivre
une vie nette se combine curieusement, aujourd’hui, avec une réaction
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Simplement si c’est vrai. S’il est vrai que j’ai
vécu
ce que j’écris. C’est la question que je préfère. Leur familiarité ré
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e des génies. New York, 15 mai 1941 Recette pour
vivre
de peu. — Je me souviens de ce sous-titre de mon Journal d’un intell
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c. On y est fort sensible à Paris. Cependant nous
vivons
au xxe siècle, et je voudrais un style qui supporte le transport. Le
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mon enfance, en marge du temps de la guerre, j’ai
vécu
des journées soustraites au Destin. La mer est grise, le soir vient,
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additionnés ! Ainsi la « drôle de paix » que nous
vivons
repose en fait sur quatre crises, sur quatre pauvretés continentales
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ants se préparent à porter le titre de docteur et
vivent
dans des châteaux néo-gothiques pleins de salles de bains : c’est l’u
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mieux. C’est une charmante enfant. — Depuis quand
vivez
-vous en Amérique ? — Depuis 1934. Mais j’y étais venu une première fo
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s de pénitence » ? Oui, passablement. J’ai écrit
Vivre
en Amérique , j’ai publié La Part du diable et m’en vais sortir trè
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e de développer pour sa défense une théorie. Nous
vivons
ce moment de l’histoire où le fédéralisme suisse, s’il veut durer, do
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ce que tente à nouveau l’ONU, que cela empêche de
vivre
. La fédération européenne ne sera pas l’œuvre des gouvernants chargés
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des homosexuels. Ils ont en fait toute liberté de
vivre
à leur guise, jouissent des mêmes droits politiques et économiques qu
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n estime au contraire, comme je le fais, que nous
vivons
dans le chaos, l’amertume et la contradiction, il nous faut rétablir
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is divines et humaines, comme si le monde où nous
vivons
était fait à notre mesure, comme si l’humanité où nous plongeons se c
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uel prix. Ils veulent la vie, nous des raisons de
vivre
, même mortelles. Voilà pourquoi l’Européen typique sera tantôt un rév
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tout pour les amorcer, par la vertu de l’exemple
vécu
. Telle est la santé de l’Europe, et telles sont ses deux maladies, co
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e par ses vices, l’Europe a-t-elle des chances de
vivre
encore assez pour qu’il ne soit pas utopique d’envisager sa fonction
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r, l’Europe, et c’est là sa grandeur, a justement
vécu
de toutes ces choses gênantes, elle s’arrange à merveille de leur com
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iècles, depuis la Renaissance, le christianisme a
vécu
sur la défensive. Les hiérarchies ecclésiastiques défendaient leurs p
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États-Unis, d’où il a rapporté un maître livre :
Vivre
en Amérique , par lequel il se montre un efficace agent de liaison en
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é de Francfort. En 1931, je vins en France ; j’ai
vécu
en province et à Paris, collaborant à Esprit , à L’Ordre nouveau ,
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Il n’en revint qu’au mois de juillet dernier. Il
vécut
à New York, à Princeton, où il respira une « paix claustrale ». C’est
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ailleurs rassemblés en un volume sous le titre :
Vivre
en Amérique . Je hasarde pourtant une question sur la littérature d’o