1
ur ménages à trois, et nul d’entre eux ne saurait
vivre
sans les autres, et nul d’entre eux ne peut prétendre à dominer. Quel
2
rs ménages à trois, et nul d’entre eux ne saurait
vivre
sans les autres, et nul d’entre eux ne peut prétendre à dominer. Quel
3
cice de nos vocations tourmentées ; des moyens de
vivre
, oui, mais selon notre foi, sans renier nos raisons de vivre. Sauvons
4
mais selon notre foi, sans renier nos raisons de
vivre
. Sauvons l’Europe tragique, pour que nos descendants puissent encore
5
res les expressions du délaissement, du dégoût de
vivre
ou des chagrins intimes. Qu’ils n’aillent dire : tristesse… s’y plai
6
par le monde — ô monde entier des choses — et qui
vivaient
aux crêtes du futur… Au chant des hautes narrations du large… Le plu
7
globale que l’histoire désormais leur assigne de
vivre
. Dans un autre ordre, cependant, il y eut le précédent de Lafayette.
8
es nous ont conduits aux impasses présentes. Nous
vivons
, depuis 1920, sous le règne effectif des Experts. Je vois bien que ce
9
tion n’est pas la seule. L’Europe est née, elle a
vécu
d’antagonismes. Elle mourrait de leur suppression artificielle. Elle