1 ue leur plutonium n’évitera pas, préparons-nous à vivre mieux grâce au Soleil, avec moins de gaspillage et moins d’embouteill

2 ascinant ». En quel sens ? Dans la mesure où nous vivons dans un milieu entièrement « humanisé », fait de main d’homme et qu’a

3 là. Il y avait aussi Schönberg et Béla Bartók qui vivait d’ailleurs très pauvrement. Lévi-Strauss venait de temps en temps à n

4 eul mot d’anglais ! Il gagnait tout juste de quoi vivre comme speaker et il lisait les textes que j’écrivais pour « La Voix d

5 a société à l’échelle des régions est une réalité vécue . 3. L’utopie, c’est le système dans lequel on vit ? La véritable utop

6 de l’homme, de la personne ? L’homme ne peut pas vivre sans prendre son destin en main. Et il a la faculté de choix pour aut

7 e du déplacement ? Et puis, encore une fois, nous vivons dans un monde aux ressources limitées : les métaux, eux aussi, s’épui

8 nomiques ou politiques. Le monde dans lequel nous vivons , c’est nous qui l’avons fait. Il faut oser prendre nos responsabilité

9 e fait pas de centrales nucléaires — et l’homme a vécu cent-mille ans sans centrales nucléaires — serait-on ramené à l’âge d

10 un non-chrétien pourrait dire : « Pourquoi ne pas vivre sans aucune espèce de prise de position ou de compromission, sans s’e

11 nucléaire qui peut nous permettre de continuer à vivre comme nous vivons aujourd’hui. Mais c’est précisément ce qu’il ne fau

12 ut nous permettre de continuer à vivre comme nous vivons aujourd’hui. Mais c’est précisément ce qu’il ne faut pas faire ! Nous

13 la consommation actuelle d’énergie en Occident et vivre aussi bien. Or 30 % c’est plus que les centrales nucléaires pourront

14 que sur la petite presqu’île européenne, 25 États vivent côte à côte dans l’anarchie internationale sans qu’un pareil état de

15 d’une structure à l’abri de laquelle elle puisse vivre en paix et en sécurité. Nous devons construire une sorte d’États-Unis

16 es et les espoirs qui rendent la vie digne d’être vécue . Je vais vous dire maintenant quelque chose qui vous étonnera. Le pre

17 ôles, et parce qu’il est curieux de la manière de vivre des humains, dans le détail de leur existence. « Comment êtes-vous ve

18 dans le canton de Vaud, en Suisse romande. Il y a vécu presque toute sa vie, à l’exception de quelques années à Paris, avant

19 ui peuvent mieux être eux-mêmes quand ils veulent vivre mieux ensemble. On retrouve dans cette proposition (qui n’est déjà pl

20 arité J’aime, donc la vie vaut la peine d’être vécue . Or, la communication, la relation à autrui, expérience fondamentale

21 À une crise de civilisation comme celle que nous vivons , il n’est de solution qu’à l’échelle d’une grande unité de culture, c

22 À une crise de civilisation comme celle que nous vivons , il n’est de solution qu’à l’échelle d’une grande unité de culture, c

23 simplement comme ce qui rend la vie digne d’être vécue . » C’est profond, c’est subtil, c’est sûrement vrai. Mais que pourrai

24 déciderait-il de ce qui rend la vie digne d’être vécue , sans se classer dans le camp des totalitaires ? Force nous est de ne

25 héritage à conserver mais une commune manière de vivre et de créer, en accord avec une conception générale de l’homme, de sa

26 ement accepté par ceux qui y ont réfléchi, qui en vivent , et surtout qui contribuent à sa vie et à son évolution, il s’agit ma

27 le stade du débat théorique « faut-il ou non » et vivent les problèmes du « comment » — la dialectique de l’Un et du Divers. N

28 lleurs ces problèmes et cette dialectique ne sont vécus d’une manière plus concrète que dans les régions frontalières — ou pl

29 in ! Tous ces problèmes concrets, quotidiennement vécus , et le fait aisément vérifiable que seule la frontière les rend insol

30 -delà de toute comparaison il ait sa vie unique à vivre , tandis que j’ai la mienne à vivre pour être moi, pour le devenir. C’

31 a vie unique à vivre, tandis que j’ai la mienne à vivre pour être moi, pour le devenir. C’est à partir de cette acceptation,

32 t d’en faire le problème no 1 des années que nous vivons , est devenue le besoin n° 1 de l’homme occidental, que l’on voit trop

33 uleuse du seul saint Suisse, Nicolas de Flue, qui vécut au xve siècle et ne fut canonisé qu’en 1946. Nicolas de Flue, homme

34 hisons de leurs fins alléguées. (Distributions de vivres à une population immédiatement récupérés par ceux-là mêmes qui affame

35 , à longueur de journée, que nous ne pouvons plus vivre sans tel produit, sans telle machine, sans tel type de consommation.

36 oser que, dorénavant, toutes les distributions de vivres et de médicaments aux peuples souffrant de famine ou d’épidémies suit

37 nce des Casques bleus de l’ONU, afin d’éviter que vivres et médicaments soient récupérés avant leur distribution ou aussitôt a

38 t un sens recréateur de communauté, une raison de vivre et d’espérer ensemble. Contre les dictateurs qui apportaient une répo

39 ouvrage Depuis deux ans, Benjamin et Charlotte vivent en Allemagne, entre Cassel, Göttingen, Hanovre et le château du Harde

40 ar le sentiment, il ira du même trait de l’intime vécu à l’universel objectif. La théorie de l’état de guerre L’actuali

41 « combien il est bon, combien il est agréable de vivre avec des frères et d’être fondu en un. » Deux siècles et demi plus t

42 n offrir le modèle, si d’abord elle parvient à le vivre . Autrement, on ne la croira pas. Car ainsi que le disait le bon Dr S

43 on, la politique devenue spectacle — le théâtre «  vécu par tous ». La fin de cette deuxième époque du xxe siècle sera marqu

44 isis parmi les meilleurs musiciens et poètes, qui vivaient à la cour de Guillaume IX de Poitiers. Il y avait en ce temps-là une

45 en loisirs, ou la productivité en moyens de faire vivre , et non de tuer, c’est-à-dire en aliments pour le corps et l’esprit p

46 les données de fait observées et les expériences vécues , intégrées dans la mémoire de l’individu. Le sens de « nouvelles du j

47 de recevoir, mais d’une expérience qu’il vient de vivre . c. Littré définit savoir comme « connaissance acquise par l’étude, p

48 qu’elle n’en eût mis à la trouver, c’est-à-dire à vivre le processus de changement qui permet de la réaliser (au sens anglais

49 ifficulté n’étant pas de la connaître, mais de la vivre , jusqu’à la solution réelle.) La solution quasi instantanée — calculé

50 utile que dans les domaines où la durée n’est pas vécue , ne fait pas partie de la nature du problème et du processus même de

51 très bien dit (je viens de le lire après l’avoir vécu ) : On n’enseigne pas ce que l’on sait, mais ce que l’on est. L’ordina

52 en loisirs, ou la productivité en moyens de faire vivre , et non de tuer, c’est-à-dire en aliments pour le corps et l’esprit p

53 les données de fait observées et les expériences vécues , intégrées dans la mémoire de l’individu. Le sens de « nouvelles du j

54 de recevoir, mais d’une expérience qu’il vient de vivre  ; c) Littré définit Savoir comme « connaissance acquise par l’étude,

55 n eût mis à trouver cette réponse, c’est-à-dire à vivre le processus de changement qui permet de la réaliser (au sens anglais

56 ifficulté n’étant pas de la connaître, mais de la vivre , jusqu’à la solution réelle.) La solution quasi instantanée — calculé

57 utile que dans les domaines où la durée n’est pas vécue , ne fait pas partie de la nature du problème et du processus même de

58 très bien dit (je viens de le lire après l’avoir vécu ) : « On n’enseigne pas ce que l’on sait, mais ce que l’on est. » L’or

59 ne peut être décrite ni prescrite mais seulement vécue , et une seule fois ; — l’objectivité pure de la physique classique, d

60 ique n’est que l’outil. Car dans le monde où nous vivons , désormais tout est fait de main d’homme. Qu’il s’agisse des paysages

61 couvrais au seuil des années 1930, et où j’allais vivre ma jeunesse littéraire, politique et spirituelle. Je le revois dans c

62 itique. Il m’intriguait. Mais bien que nous ayons vécu ensemble l’aventure de l’Ordre nouveau pendant près de neuf années de

63  ne donnent pas aux événements qu’ils viennent de vivre ensemble la même signification révolutionnaire que lui-même ». Lassé

64 le stade du débat théorique « faut-il ou non » et vivent les problèmes du « comment ? », la dialectique de l’Un et du Divers.

65 e part ces problèmes et cette dialectique ne sont vécus d’une manière plus concrète que dans les régions transfrontalières co