1
vertus guerrières. « Il faut que la paix, ce soit
vivre
. » Par tout un livre libéré de souvenirs héroïques, peut-être trop gr
2
ce de servir. ⁂ On se complaît à répéter que nous
vivons
dans le chaos des idées et des doctrines, et qu’il n’existe pas d’esp
3
’incarner, dans le héros de son roman, de se voir
vivre
, dans son œuvre ? C’est ici la conception même de la littérature, tel
4
e faire la critique des méthodes et des façons de
vivre
autant que de penser qui les ont amenés aux positions qu’on vient d’e
5
s la culture ; sans autre parti pris que celui de
vivre
, c’est-à-dire de construire ; sobres de langage et maîtres de leurs c
6
Girard est un peu responsable de cette douceur de
vivre
. Déjà vous ne niez plus sa drôlerie, son aisance. Vous accordez que s
7
décisive), une secrète complaisance à se regarder
vivre
qui est bien d’aujourd’hui — entre autres. ap. « Léon Bopp : Interf
8
t de jeunes hommes de l’après-guerre, Malraux l’a
vécue
, avant de la décrire ; et cet aveu de Garine est décisif : « La Révol
9
on voudrait l’imaginer. Il reste qu’il a voulu la
vivre
et qu’il l’a pu, étant roi. Il offre ainsi l’image d’un romantisme as
10
lle voit dans une autre lumière : « Tout semblait
vivre
au fond d’un insistant regard. » Le poète des Gravitations est ici de
11
un extrême, un pic trop élevé pour qu’on y puisse
vivre
, c’est l’impossible. Mais justement, la gloire de M. Benda sera d’avo
12
de s’user, ne tarde pas à devenir notre raison de
vivre
. Mais combien votre sort, ô grands empêtrés ! me paraît enviable : vo
13
adisme, et ces vents vastes ; et cette passion de
vivre
au-dessus de ses moyens — c’est-à-dire au-dessus du Moyen — qui est c
14
caractéristique du Hongrois. — « Comment peux-tu
vivre
si largement ? » demande certaine hargne à cet artiste de la prodigal
15
lité. — « Ah ! répond-il, j’aimerais bien pouvoir
vivre
comme je vis ! » Voici les cigognes, dont Andersen assure qu’elles pa
16
Bon point de vue pour déconsidérer nos raisons de
vivre
. La maladie aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la maladie. C’es