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ouvrier de 1947 a beaucoup à nous apprendre, il a
vécu
toutes les aventures de notre temps, à Moscou, à Budapest, à Munich,
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mules dramatiques reflètent bien moins la réalité
vécue
de notre continent qu’une confusion générale des esprits quant à la v
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n entendu que cette chronique parlera de l’Europe
vécue
, celle des Européens, non des États, celle des citoyens, non des fonc
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l’écologie contre l’économie (ou de la volonté de
vivre
contre la volonté de profit) et que le phénomène, au lendemain de la
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« Combien il est bon, combien il est agréable de
vivre
avec des frères et d’être fondu en un. » Deux siècles et demi plus
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n offrir le modèle, si d’abord elle parvient à le
vivre
. Autrement, on ne la croira pas. Car ainsi que le disait le bon Dr Sc
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e district fédéral de l’Europe intellectuelle. Là
vivent
des « hommes de synthèses » : professeurs de tous âges et de toutes s
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ez Sohrawardi, un événement de l’âme actuellement
vécu
, une aventure que dès maintenant il vit par une suite d’illuminations
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rtout — symbole de tous les autres — du spirituel
vécu
à l’orthodoxie imposée, du personnel irréductible au collectif terror
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ls auront eux aussi conscience de leur volonté de
vivre
». Plus téméraire encore, dans l’optimisme (Lévy dirait dans la compl
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nes culturels ; — la possibilité pour chacun de «
vivre
et travailler au pays » ; — le droit pour tous les citoyens de s’expr
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semble que ce colloque, des trois que nous avons
vécus
ensemble depuis trois ans, a été de loin le plus riche par le nombre
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de nodal, de central, et j’ai eu l’impression de
vivre
un moment important : pour la première fois, je voyais des gens repré
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difficile à transmettre et c’est assez émouvant à
vivre
, je crois. Je crois que ce moment-là a entièrement justifié notre col
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qu’il arrive. Je dirai donc comment j’ai perçu et
vécu
le problème du Conseil de l’Europe, selon ma vocation de penseur mili
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ncertée. Je les rapporte ici telles que je les ai
vécues
, et dans l’ordre où j’en pris connaissance. Il s’agit de mes Lettres
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élégués à Strasbourg peut réveiller la volonté de
vivre
dans notre Europe aujourd’hui paralysée par le sentiment de son impui
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s n’accepterons de mourir que pour des raisons de
vivre
. Proclamez ces raisons, faites l’Europe ! Au rythme actuel de vos tra
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ssi des frais de voyage, ce qui l’est moins. Nous
vivions
l’époque héroïque des gens — jeunes de tout âge — qui « marchent » po
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par ses actions quotidiennes, toute sa manière de
vivre
. Tandis que l’amour-passion, comme le mot l’indique, a pour étymologi
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tant plus romantique, tandis que l’amour sérieux,
vécu
tous les jours, et qui est un véritable amour — on veut le bien de l’
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bien de l’autre — passe pour ennuyeux. Mais entre
vivre
une vie un peu ennuyeuse ou vivre une vie catastrophique comme celle
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eux. Mais entre vivre une vie un peu ennuyeuse ou
vivre
une vie catastrophique comme celle qu’on est en train de fabriquer, l
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etites communautés. Nous ne sommes pas faits pour
vivre
dans de grands États-nations centralisés, sous la direction de l’État
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et de ses fonctionnaires. Nous sommes faits pour
vivre
dans notre commune, dans notre famille d’abord, dans notre petite rég
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fermées sur elles-mêmes, elles ne pourraient pas
vivre
. Aucune communauté n’est suffisante en soi, ne peut constituer une pe
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ontre les ripostes américaines, mais pour pouvoir
vivre
ensemble et faire son métier d’homme. Voilà la base de ce que je peux
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deux-mille ans, et c’est de cela que nous devons
vivre
maintenant, pour cela que nous devons travailler, parce que c’est cel