1 à son état d’esprit le plus naturel. Mais de quoi vivent ces bourgeois aimables et insipides, qui passent des après-midi entie

2 nuit ». — « Des livres comme celui-là, ça aide à vivre  ! » Tout le charme profond de Selma Lagerlöf revit dans ces peintures

3 gt figures qui mériteraient d’être citées, et qui vivent dans la mémoire avec leurs gestes lents et leurs passions étranges. A

4 se récrient en vain : l’éditeur répond qu’il faut vivre  ! Règne de la publicité et de la littérature faite sur commande, comm

5 tés cantonales absolues ; que les cantons suisses vivaient ensemble depuis des siècles ; que les problèmes économiques sont plus

6 les deux dont vous sortez suffisent. Vos Nations vivent ensemble depuis autant de siècles, et souvent davantage, que nos cant

7 Personne ne veut mourir, que pour des raisons de vivre . Mozart n’en est plus une pour les chômeurs. Et ce n’est pas une sect

8 logers, de céramistes, tous protestants, mais qui vécurent en paix avec ceux qu’ils enrichissaient. En même temps, il faisait bâ

9 der que les partis communistes de l’Occident vont vivre de leurs seules ressources : on m’entendra. Enfin, prendre au sérieux

10 Je parlais d’une action vigilante, obstinée. Nous vivons en démocratie, qui veut dire souveraineté du peuple. Or le peuple, c’

11 n-Orient, de la Grèce et de Rome qui continuent à vivre en elles. En deuxième lieu, la civilisation occidentale est la seule

12 ur ? La jeunesse, dans son ensemble, ne me paraît vivre rien qui ressemble à un « l’éclatement de l’Éros », si j’en crois mes