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avec un peu de clairvoyance de ce dont nous avons
vécu
jusqu’à tel jour de notre jeunesse, il faudrait pouvoir sauter hors d
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ntérieur. Un arrêt (l’auteur se met à se regarder
vivre
, le personnage à douter du sens de sa vie) et les forces centripètes
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ndir — il était venu y chercher quelque raison de
vivre
, il voulait se voir le plus purement (« cette curiosité donnée comme
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e rythme volontaire par lequel un Balzac les fait
vivre
. Ce serait fausser quelque chose à leurs yeux. Le cas des Faux-Monnay
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.............. Le vent se lève, il faut tenter de
vivre
. Paul Valéry. Certes, du sein de ma triste lucidité, je t’avais déj
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er de reconnaître la voix secrète de notre mal de
vivre
. Désespoir métaphysique. Je me souviens d’une phrase de Vinet — laiss
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t ce qui est parisien, hait Paris mais ne saurait
vivre
ailleurs… Mais non, il y aurait trop à dire, et puis l’on croirait en
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on contre tout ce qui prétendait nous empêcher de
vivre
, de rêver et de souffrir : culte du moi avec ses recettes garanties,
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prix ? Mais nous avions besoin de révolution pour
vivre
, pour nous perdre. Vivre était devenu synonyme de magnifique perditio
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esoin de révolution pour vivre, pour nous perdre.
Vivre
était devenu synonyme de magnifique perdition dans des choses plus gr
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sur ses positions. Or donc, j’avais vingt ans. Je
vivais
chez mes parents, comme tant d’autres à cet âge, logé, nourri, blanch
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le de l’Italie. La lumière, mon pays natal ! — Je
vécus
d’articles sur la mode et la politique, que j’envoyais à divers journ
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’entreprendre quelques beaux vols… » Dès lors, je
vécus
, comme vous me voyez vivre encore, dans un état de sincérité perpétue
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x vols… » Dès lors, je vécus, comme vous me voyez
vivre
encore, dans un état de sincérité perpétuelle envers tous mes élans,
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Bande de gigolos de la littérature ! Qu’on puisse
vivre
de ça, je ne l’ai pas encore avalé. On m’affirme que je n’y échappera
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autre : et qu’un beau soir il faille écrire pour
vivre
, possible ; mais, pour sûr, jamais vivre pour écrire16. De tous les p
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ire pour vivre, possible ; mais, pour sûr, jamais
vivre
pour écrire16. De tous les prétextes que l’on a pu avancer pour légit
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ouve les contes d’Hoffmann. Mais il s’agit de les
vivre
plutôt que d’en parler vous voyez bien que j’ai quitté cette table éc
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oubliées de nos jours, je ne les ai vues vraiment
vécues
chez nous que par cet homme solide et fin, passionné et précis, au pa