1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 avec un peu de clairvoyance de ce dont nous avons vécu jusqu’à tel jour de notre jeunesse, il faudrait pouvoir sauter hors d
2 ntérieur. Un arrêt (l’auteur se met à se regarder vivre , le personnage à douter du sens de sa vie) et les forces centripètes
3 ndir — il était venu y chercher quelque raison de vivre , il voulait se voir le plus purement (« cette curiosité donnée comme
4 e rythme volontaire par lequel un Balzac les fait vivre . Ce serait fausser quelque chose à leurs yeux. Le cas des Faux-Monnay
5 .............. Le vent se lève, il faut tenter de vivre . Paul Valéry. Certes, du sein de ma triste lucidité, je t’avais déj
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
6 er de reconnaître la voix secrète de notre mal de vivre . Désespoir métaphysique. Je me souviens d’une phrase de Vinet — laiss
7 t ce qui est parisien, hait Paris mais ne saurait vivre ailleurs… Mais non, il y aurait trop à dire, et puis l’on croirait en
8 on contre tout ce qui prétendait nous empêcher de vivre , de rêver et de souffrir : culte du moi avec ses recettes garanties,
9 prix ? Mais nous avions besoin de révolution pour vivre , pour nous perdre. Vivre était devenu synonyme de magnifique perditio
10 esoin de révolution pour vivre, pour nous perdre. Vivre était devenu synonyme de magnifique perdition dans des choses plus gr
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
11 sur ses positions. Or donc, j’avais vingt ans. Je vivais chez mes parents, comme tant d’autres à cet âge, logé, nourri, blanch
12 le de l’Italie. La lumière, mon pays natal ! — Je vécus d’articles sur la mode et la politique, que j’envoyais à divers journ
13 ’entreprendre quelques beaux vols… » Dès lors, je vécus , comme vous me voyez vivre encore, dans un état de sincérité perpétue
14 x vols… » Dès lors, je vécus, comme vous me voyez vivre encore, dans un état de sincérité perpétuelle envers tous mes élans,
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
15 Bande de gigolos de la littérature ! Qu’on puisse vivre de ça, je ne l’ai pas encore avalé. On m’affirme que je n’y échappera
16 autre : et qu’un beau soir il faille écrire pour vivre , possible ; mais, pour sûr, jamais vivre pour écrire16. De tous les p
17 ire pour vivre, possible ; mais, pour sûr, jamais vivre pour écrire16. De tous les prétextes que l’on a pu avancer pour légit
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
18 ouve les contes d’Hoffmann. Mais il s’agit de les vivre plutôt que d’en parler vous voyez bien que j’ai quitté cette table éc
6 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
19 oubliées de nos jours, je ne les ai vues vraiment vécues chez nous que par cet homme solide et fin, passionné et précis, au pa