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ls sont d’accord. Il ne faut pas oublier que nous
vivons
à une époque de propagande forcenée, et je vous assure qu’un communis
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attent lentement pour en tirer tout juste de quoi
vivre
, j’hésite à reconnaître dans leur existence le beau mythe du peuple p
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prises avec les éléments hostiles. En vérité, ils
vivent
à peine. Ils subsistent. À la fois aux limites du continent et aux li
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instinct, au niveau le plus bas où l’homme puisse
vivre
sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans tristesse. Chacun pour
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crois que c’est à peu près tout) ; mais pourquoi
vivraient
-ils autrement ? Bien entendu, certains d’entre eux sont morts ou vont
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corder aux idéologies et aux politiciens. Il faut
vivre
à Paris pour y croire. Réveillez ce peuple, il sera peut-être capable
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droite » et on les applaudit : la fondation fait
vivre
beaucoup de personnes de l’île. La moitié des maisons sont vides, et
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nir compte de ses circonstances. Sur ses bords ne
vivait
qu’une population nomade, qui portait l’uniforme de l’État, partout,
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— qu’un écrivain a bien deux fois plus de peine à
vivre
qu’un homme normal, mettons qu’un fonctionnaire (c’était pour le flat
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sans chemins creux et sans secrets, où les hommes
vivent
sans calcul ni prudence, dans la misère et dans la communion, superst