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x de son âme dans le monde. Il a dû se retirer et
vivre
en marge des conditions normales de l’existence. Signe du désarroi in
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lorsqu’on demandait à Nicolas comment il pouvait
vivre
« sans nourriture corporelle », il se bornait à dire : « Dieu le sait
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est nécessaire que le sang circule, mais on peut
vivre
en restant chaste. L’usage du sexe est donc en grande partie libre et
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u sentiment d’être une personne responsable. Nous
vivons
tous, de plus en plus, dans un monde de transe collective. Nous parti
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squ’il nous tue, que lorsqu’il prétend nous faire
vivre
. Il est moins dangereux dans nos vices que dans nos vertus satisfaite
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libérer ses colonies — dont on prétendait qu’elle
vivait
! A-t-on remarqué le parallélisme, si frappant, entre la fin de la do
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tôt chevillé au corps. C’est peut-être l’envie de
vivre
, une curiosité (savoir ce qui va se passer après), et c’est peut-être