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ompent, je saurai mieux pourquoi. De toute façon,
vivre
à l’époque d’Hitler, et n’aller point l’entendre et voir, quand une n
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, la pensée véritable des hommes avec qui je vais
vivre
. Comme tous les refoulés, ils ne se trahissent guère que par certains
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d’excès possible, c’en est fait de la douceur de
vivre
. Mais le tout est de savoir pour quels excès l’on se réserve. L’argen
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rreur des conceptions sociales sur lesquelles ils
vivaient
« avant janvier 1933 », etc., etc. Ils vous expliquent surtout quels
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ble, ils ont fait une expérience maximum, ils ont
vécu
quelque chose d’extrême, et rien ne peut remplacer cela pour nous. No
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ous déclencher exprès une nouvelle avalanche pour
vivre
aussi cela, cette « expérience héroïque », cet Erlebnis admirable qui
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condes. La civilisation et la culture naissent et
vivent
de tensions de ce genre. Prenez l’exemple d’un tableau. Il ne s’agit
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t sont en fait ceux qui communient dans la foi où
vivait
le Danois. Mais moi qui ne suis pas de ce pays, moi qui ne vis pas en
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écrit : « Lorsque le Führer s’écria : Je ne puis
vivre
que si ma foi puissante dans le Peuple allemand est sans cesse renfor
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moyen, comme s’ils ne sentaient rien de ce qui se
vivait
autour d’eux, comme s’ils ne sentaient pas ce je ne sais quoi dans l’
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ue je suis sûr du peuple » (Cloots). « Je ne puis
vivre
que si ma foi puissante dans le peuple allemand est sans cesse renfor
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URSS du dehors ; nous croyons que tous ceux qui y
vivent
sont affectés d’un signe de haine ou d’approbation enthousiaste pour