1 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
1  cette Gorgone terrorisant le peuple allemand qui vivait désarmé et humilié sous le regard de ces milliers d’yeux » (Mein Kamp
2 vec des chars les dons de l’âme et les raisons de vivre dont on manque. Qu’ils fassent dix fois le tour du monde ! Ils ne ren
2 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
3 rsqu’il nous tue que lorsqu’il prétend nous faire vivre . Il est moins dangereux dans nos vices que dans nos vertus satisfaite
4 diable devint très riche, mais perdit le goût de vivre . C’est l’une des plus belles fables de ce monde, l’une des plus trist
5  ! Comment cette belle humeur et ce goût de mieux vivre pourraient-ils être diaboliques ? Les démons, ce sont les nazis, vêtu
6 u sentiment d’être une personne responsable. Nous vivons tous, de plus en plus, dans un monde de transe collective. Nous parti
7 normité de l’entreprise, ces équipes spécialisées vivaient à part les unes des autres. Avec le temps elles se créèrent des langa
8 nte, on espère, on provoque sa fièvre : ce serait vivre  ! (Faut-il qu’on vive peu.) Plus tard on dit : « C’était fatal. Voilà
9 est nécessaire que le sang circule, mais on peut vivre en restant chaste. L’usage du sexe est donc en grande partie libre et
10 Puis elle s’endormit, fatiguée. Le lendemain, il vivait encore. — Pourquoi t’ai-je battu ? lui dit-elle ? Si tu ne le sais pa
11 e dans le cœur, quoi qu’il arrive. Mais pour quoi vivions -nous naguère, et pour quoi mourrons-nous demain ? Nous ne pouvons plu
12 t dur de se défaire de l’idée qu’on était né pour vivre heureux. Jadis la tragédie n’était qu’un accident, une chose qui arri
3 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
13 ut ordre social véritable repose sur le voisinage vécu , qui est la relation de prochain à prochain.17 Sans voisinage réel, v
14 vertu dans le monde informe et gigantique où nous vivons . Et puis enfin, je n’écris pas ces pages pour proposer après mille au
15 n cœur. Il ne dépend pas de nous que ces syllabes vivent  : tout d’un coup elles nous ont parlé. (La naissance d’un poème ou d’
16 de la vie. »20 Et je réponds : le grand ordre de vivre , et d’assumer un destin neuf. La vertu n’est plus ennuyeuse quand les