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liquent pourquoi !… Je vais vous dire comment ils
vivent
: dans le scandale et la mauvaise humeur, s’ils ont du caractère ; ou
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le et facile » en soi ? Le monde dans lequel nous
vivons
et parlons n’est-il pas, comme l’a dit un Russe, « le monde de l’impr
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t l’attache plus secrètement à son aventure. Nous
vivons
dans un décor flamboyant de glaces. À chaque pas, on offre à Stéphane
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herons jamais qu’un impossible fascinant. Et nous
vivrons
dès lors dans le vertige de nous détruire au contact de cet infini, p
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ées ! Car rien ne flatte comme l’idée que l’on va
vivre
à son tour une scène de roman. Oui, l’idée seule a fait tous ces rava
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eu est mort. Si Dieu est mort, c’est donc qu’il a
vécu
? Dieu revivra éternellement ! Ainsi Nietzsche devient le Tristan d’u
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ude de la plupart des écrivains modernes. « J’ai
vécu
pour la gloire, dit le prince André, et qu’est-ce que la gloire, si c
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être utile et de mériter ses louanges ? J’ai donc
vécu
pour les autres, et mon existence est perdue, perdue sans retour ; de
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ue, elle gouverne aussitôt les personnages qui la
vivent
. Un mariage se noue, une amitié se noue. Quand on peut dire d’un frui
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ve siècle. Un messager fut envoyé à l’Ermite qui
vivait
dans les Alpes et qui détenait, sans nul pouvoir, l’autorité. En cett
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ière-pensée, l’impuissance à choisir sans retour.
Vivre
est impur, qu’on sache ou non où va la vie, et c’est pourquoi les bon
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e hors la loi, sécurité d’abord. Nous apprenons à
vivre
, et non plus à mourir : cet effort est contre nature. Il naît au décl
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blit. La primitive Église, au début de notre ère,
vivait
dans la pensée de la fin imminente. Mais parmi nous, qui avons cru po
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; et son désir ainsi fut exaucé. Un autre voulait
vivre
abondamment au sein d’une perpétuelle pauvreté. Devint soleil. Et que
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ées. Méditez le symbole du Poisson. Lui seul peut
vivre
dans les grandes eaux, dans l’amertume et dans la danse. 7. — Les gra
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la vie, et vie de la danse profonde. Puis il faut
vivre
sur la Terre au sel aigu. 8. — Pour tous les morts par l’eau amère, o