1 uel prix. Ils veulent la vie, nous des raisons de vivre , même mortelles. Voilà pourquoi l’Européen typique sera tantôt un rév

2 tout pour les amorcer, par la vertu de l’exemple vécu . Telle est la santé de l’Europe, et telles sont ses deux maladies, co

3 e par ses vices, l’Europe a-t-elle des chances de vivre encore assez pour qu’il ne soit pas utopique d’envisager sa fonction

4 r, l’Europe, et c’est là sa grandeur, a justement vécu de toutes ces choses gênantes, elle s’arrange à merveille de leur com

5 e de développer pour sa défense une théorie. Nous vivons ce moment de l’histoire où le fédéralisme suisse, s’il veut durer, do

6 ce que tente à nouveau l’ONU, que cela empêche de vivre . La fédération européenne ne sera pas l’œuvre des gouvernants chargés

7 ème voie, la voie des libertés organisées. Nous vivons aujourd’hui la « drôle de paix ». Il dépend de nous qu’elle se termin

8 magnifique et tragique — et, par là, digne d’être vécue . » (C’est mon ami Brugmans, travailliste hollandais, qui parle ainsi