1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 soin de réformer le prochain… Est-ce que ceux qui vivent sous ce toit sont tellement sûrs de leur affaire ?  
2 1948, Suite neuchâteloise. II
2 enantes, où je reconnais bientôt ce que j’ai déjà vécu  ? Certes, dans les deux cas, c’est moi que je découvre, puisqu’il s’a
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3 respect.   Au-delà de l’exemple vivant, du destin vécu de mon père, qu’irais-je encore chercher dans le passé ? Si j’y suis
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4 ge qui ne peut gêner personne ! Pourquoi ceux qui vivent pour l’avenir et dans les voies de l’ambition jalouseraient-ils ceux
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5 même de la tension des contraintes morales, dont vécut le roman victorien. Faut-il penser que cette culture fut trop mêlée,
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6 parlera des forêts ? Pour ma part, j’ai trop peu vécu sous les sapins, dans les vallées du Jura. J’y suis né, certes, mais