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se des hommes », nous dit Hésiode. À ce poète qui
vécut
en Béotie vers l’an 900 avant J.-C., nous devons la première mention
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t de le gouverner, afin que les hommes puissent y
vivre
. Il prendra pour première femme l’Océanide Métis, qui est la raison ;
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de, le premier à nommer Europe, était né et avait
vécu
en Béotie… Relevons enfin deux autres éléments de parenté mythologiqu
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, qui les cite, ajoute : « Leur excuse est qu’ils
vivaient
en un temps où l’on croyait encore qu’Adam parlait bas-breton, au moi
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en 1932 : Pour les anciens peuples orientaux qui
vivaient
dans les pays d’où se lève le soleil, c’est-à-dire en Asie, par le mo
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de d’après Asie et Europe, les Océanides. Hippias
vivait
au ve siècle avant notre ère. Avant lui, Hécathée de Milet, né vers
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farouche, plus indocile et plus fougueux que s’il
vivait
dans une température toujours égale ; car ce sont les passages rapide
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partout les populations agricoles et civilisées y
vivent
côte à côte avec les populations guerrières, et les premières, j’ente
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Résurrection d’Homère, chap. VIII, Hésiode aurait
vécu
vers l’an 900, Homère vers l’an 850 av. J.-C. 2. André Varagnac : Co
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e. Autrement doivent être dirigés les Scythes qui
vivent
hors le septième climat, ils subissent une grande inégalité de jours
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« combien il est bon, combien il est agréable de
vivre
avec des frères et d’être fondu en un. »61 Après cette utopie subli
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… Qui eût jamais pensé que le roi des Gaules dût
vivre
en une geôle britannique, et peut-être y mourir ? Et voici que nous s
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les emploie ou les tire de leur obscurité, qu’ils
vivent
dans une monarchie ou dans une république. Ainsi plus il y a d’États,
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voient rien qu’elle. Ce Hollandais de naissance a
vécu
à Bruxelles, à Paris, en Angleterre et en Suisse, et il a visité l’It
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afin de tout diviser par la discorde de ceux qui
vivaient
étroitement unis et de dépouiller le malheureux peuple, grâce à cette
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lence en 1492, mort à Bruges en 1540, après avoir
vécu
à Louvain auprès d’Érasme, puis en Angleterre au service d’Henry VIII
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au pouvoir des Turcs, et que ceux qui refusent de
vivre
sous ce joug, n’émigrent en grandes flottes vers le Nouveau Monde. Ma
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es esprits bornés croient) que tous sont tenus de
vivre
comme luy, et ne prise que ses coutusmes, à la façon de ces niais d’A
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Souverains d’Europe, comme les autres hommes, de
vivre
en Paix, unis par quelque société permanente, pour vivre plus heureux
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n Paix, unis par quelque société permanente, pour
vivre
plus heureux, sur la nécessité où ils se trouvent d’avoir des Guerres
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lectable, surtout si on la ramène à l’unité. Il a
vécu
dans la plupart de nos pays, il souffre de leurs dissensions, il veut
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n Allemagne, et là, il me sembla que l’on pouvait
vivre
avec le plus de liberté.114 Balthazar Gracian (1601-1658), célèbre
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r, l’Angleterre pour y penser et la France pour y
vivre
. Carl von Linné (1707-1778), le « premier botaniste de l’Europe »,
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yagent, c’est pour y verser leur argent, non pour
vivre
d’industrie ; ils sont trop fiers pour aller ramper hors de chez eux.
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tout était sauvage ; les habitants de ces climats
vivaient
, comme les Tartares ont toujours vécu, dans l’ignorance, dans la dise
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climats vivaient, comme les Tartares ont toujours
vécu
, dans l’ignorance, dans la disette, dans la barbarie. Comptez-vous po
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Londres n’ont qu’à s’en aller aux Orcades : ils y
vivront
comme nous vivions à Londres du temps de César ; ils mangeront du pai
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s’en aller aux Orcades : ils y vivront comme nous
vivions
à Londres du temps de César ; ils mangeront du pain d’avoine, et s’ég
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ont qu’à donner l’exemple. B. — Mais au moins ils
vivraient
sous la loi naturelle. La pure nature n’a jamais connu ni débats de p
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ts et nous accompagne de ses vœux. Les hommes qui
vivent
sous le joug du pouvoir arbitraire n’en approuvent et n’en désirent p
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fait pas la guerre à lui-même, et le genre humain
vivra
en paix, lorsqu’il ne formera qu’un seul corps, la nation unique… La
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ue relie entre eux un intérêt commun, peut certes
vivre
et se développer, si on l’a dotée d’une constitution de ce genre145.
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he se borne à répondre : Soyons donc contents de
vivre
sur cette partie du globe, même si l’Europe doit connaître encore plu
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dans une nation ainsi fermée, dont les membres ne
vivent
qu’entre eux et fort peu avec des étrangers, qui acquiert par suite d
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uiert par suite des mesures indiquées sa façon de
vivre
, son organisation et ses mœurs particulières, qui aime avec dévouemen
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du percement de l’isthme de Panama : J’aimerais
vivre
assez pour le voir, mais ce n’est pas possible. J’aimerais voir aussi
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en possession d’un canal à Suez. Oui, je voudrais
vivre
assez pour voir se réaliser ces trois grandes choses, et il vaudrait
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ne laisse rien mûrir » et qui va nous obliger « à
vivre
au jour le jour sans jamais rien mettre sur pied ». Et il se félicite
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ttre sur pied ». Et il se félicite d’avoir encore
vécu
dans l’âge de la culture, comme « l’un des derniers d’une époque qui
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e ceinte de marais et entrecoupée de fleuves, dut
vivre
d’abord en vase clos, chacune ayant son propre idiome et sa façon de
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des Thraces, toutes ces peuplades primitives qui
vécurent
bien avant que la civilisation orientale ne pénétrât en Europe avec s
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une assemblée en laquelle vous vous sentirez tous
vivre
, une assemblée qui sera comme votre âme à tous, un concile souverain
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n droit, ici commence ton devoir. Bas les armes !
vivez
en paix… ! Si quelqu’un eût dit cela à cette époque, messieurs, tous
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de droit international de son temps. L’expérience
vécue
du fédéralisme suisse le met en mesure de préciser certaines distinct
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la Grande Europe. De cette façon elle n’aura pas
vécu
en vain ni sans gloire.216 Ainsi se réaliserait ce passage à l’Euro
46
e du Nord. Constantin Frantz part de l’expérience
vécue
d’une Allemagne moins une que diverse, donc destinée et préparée par
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es prophètes, sans lui les peuples ne veulent pas
vivre
et ne peuvent pas même mourir ! Et toute cette sensation, je l’ai véc
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s même mourir ! Et toute cette sensation, je l’ai
vécue
dans ce rêve ; les rochers et la mer, les rayons obliques du soleil c
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is mis au service de la Russie tant que j’y avais
vécu
; une fois parti, je continuai à la servir, en élargissant seulement
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plement pas vu les réalités parmi lesquelles il a
vécu
pendant près d’un siècle. Les deux mondes en tout cas ne sont pas con
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actuel » des populations et par leur « volonté de
vivre
ensemble » en vue d’un avenir commun. Cette analyse capitale pour tou
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nté qu’ont les différentes provinces d’un État de
vivre
ensemble.246 Douze ans plus tard, dans une conférence à la Sorbonn
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nent les époques très reculées, celles d’abord où
vécurent
les peuples aryens en Inde et aussi en Perse, ensuite celles où des c
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mot, des institutions, des partis ; l’expérience
vécue
du spirituel dans tous les sens et toutes les directions ; cette aspi
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e sens. Toutes les formes, toutes les manières de
vivre
, toutes les civilisations du passé, autrefois entassées les unes près
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taires, ou des malins qui font de la démagogie et
vivent
de leurs mensonges. Personne n’a le courage de dire ou d’écrire que l
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lées et des gloses sur la tragédie qu’on vient de
vivre
, — et l’on pressent qu’elle n’est encore qu’au premier Acte. … Paul V
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apidement durant le xve siècle. La Foi dont nous
vivons
fut de plus en plus mise en doute, et l’autorité morale dont tout dép
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ôt hommes et peuples profitent de l’occasion pour
vivre
sans impératifs. Car les impératifs européens existaient seuls. … Voi
60
La science, l’art, la technique et tout le reste
vivent
de l’atmosphère tonique que crée la conscience du commandement. Si ce
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otre renaissance : … Les Européens ne savent pas
vivre
s’ils ne sont engagés dans une grande entreprise qui les unit. Quand
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ever par tous ses meilleurs moyens : l’expérience
vécue
, l’expérience acquise, la spiritualisation. Car c’est dans les plus h
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ion est leur destin, l’Europe est leur expérience
vécue
. Un grand phénomène devient européen : ainsi en fut-il de Jules César
64
u « crépuscule occidental » : Anaximandre aurait
vécu
de la fin du viie au milieu du vie siècle avant J.-C. dans l’île de
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ne comparaison entre les mondes dans lesquels ils
vécurent
… Il se peut que tout simplement nous en sachions plus sur le monde de
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nc pas simplement que la civilisation en laquelle
vécut
Virgile soit plus proche de celle du christianisme que la civilisatio
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eer — si la légende d’un Moyen Âge à la Novalis a
vécu
, si ce passé était fort loin d’être aussi chrétien qu’on l’a dit, ce
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nité, l’époque de l’humanité qui désormais entend
vivre
et peut vivre en configurant librement son existence, sa vie historiq
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de l’humanité qui désormais entend vivre et peut
vivre
en configurant librement son existence, sa vie historique, à l’aide d
70
ontente pas d’attendre « que ce soit passé » pour
vivre
ensuite comme si rien ne s’était produit, alors les conditions sont r
71
uel prix. Ils veulent la vie, nous des raisons de
vivre
, même mortelles. Voilà pourquoi l’Européen typique sera tantôt un rév
72
. Car s’ils sont pires, notre devoir est alors de
vivre
pour nos valeurs et de les affirmer. … Il n’est certes pas facile de
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de ce que l’Europe et sa culture ont le droit de
vivre
. Peut-être ce « traditionalisme révolutionnaire » de l’Europe, comme
74
illions de bouteilles de Coca-Cola. L’Europe doit
vivre
et continuer de vivre. Mais elle ne le pourra que sur la base d’une a
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de Coca-Cola. L’Europe doit vivre et continuer de
vivre
. Mais elle ne le pourra que sur la base d’une autoaffirmation culture
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non seulement sa technique, mais ses manières de
vivre
et jusqu’à ses façons de se vêtir. Mais c’est au prix de son ancienne
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us réduisait — expérience purement imaginaire — à
vivre
uniquement de ce que nous sommes, en tant que « nationaux », et que,
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ifié. Il verrait qu’il ne lui est pas possible de
vivre
avec ce maigre recours purement national, mais que les quatre cinquiè
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e en multiples fragments le fardeau de l’Histoire
vécue
et soufferte. On comprend alors que ce soit ici, en son cœur, que se
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hnique, jette son filet sur les peuples, mais ils
vivent
en liberté sous sa protection. L’Histoire ensuite interviendra, et de
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urrence des nations s’éteindra, l’Alsacien pourra
vivre
en tant qu’Allemand ou en tant que Français, sans être forcé ni à l’u
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rcé ni à l’un ni à l’autre. Et surtout, il pourra
vivre
en tant qu’Alsacien, comme il lui plaira. Il y a là un gain pour la l
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que sur la petite presqu’île européenne, 25 États
vivent
côte à côte dans l’anarchie internationale, sans qu’un pareil état de
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poser elle-même de son propre destin. S’unir pour
vivre
et prospérer : telle est la stricte nécessité devant laquelle se trou
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d’une structure à l’abri de laquelle elle puisse
vivre
en paix et en sécurité. Nous devons construire une sorte d’États-Unis
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es et les espoirs qui rendent la vie digne d’être
vécue
. De la conjonction d’une vingtaine de « mouvements fédéralistes », d