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», et d’exclure ainsi par avance tout ce qui peut
vivre
hors d’elles en Dieu. Ce correctif posé, il me faut ajouter que, qu
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isciples et cité comme allant de soi par ceux qui
vivent
de l’écho. Les bien-pensants s’indignent, comme si l’on avait proféré
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drait dire que s’il est mort, c’est qu’il n’a pas
vécu
: ce qui est absurde. Si Dieu l’Inconnaissable était mort, cela revie
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bsurde. Si Dieu le Révélé était mort, après avoir
vécu
en tant que personne, il se serait donc produit, à un certain moment
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est l’athéisme réalisé, organisé, quotidiennement
vécu
et pratiqué, et de plus en plus dépourvu de ses éléments de polémique
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si l’on songe que chacun de nous est contraint de
vivre
et de penser selon sa foi dans un monde où tout nie la foi, dans un m
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à laquelle on passe outre « parce qu’il faut bien
vivre
». De même la responsabilité de l’athée est beaucoup moins réelle que
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iècles, depuis la Renaissance, le christianisme a
vécu
sur la défensive. Les hiérarchies ecclésiastiques défendaient leurs p
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lassique leur grandeur et leur sens unanime. Nous
vivons
par exemple dans une grande confusion de morales contradictoires, car
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esure méthodiquement inévitable) de leur contexte
vécu
. Au contraire, il me semble que la liturgie définit ces mêmes termes
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ion occidentale par la Bible. Et la liturgie fait
vivre
ces mots dans leur contexte biblique, les ramenant ainsi sans cesse à
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istinction et d’exclusion, ici, devant la réalité
vécue
d’une autre expérience religieuse, c’est l’esprit de compréhension et
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e Dieu, et d’être élevés dans une même manière de
vivre
, et dans les mêmes coutumes ; car on n’entend point parmi nous parler
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ris de l’hérésie manichéenne, et l’ont ainsi fait
vivre
jusqu’à nous et parmi nous, bien que vulgarisée et déprimée au point
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e compréhension et de le nourrir d’une expérience
vécue
de l’art. Mais peut-être pourrait-on proposer que ceux qui se livrent
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ter mon péché et ses effets dans le monde réel où
vivent
les hommes — où meurent les hommes. Reproches réciproques que s’ad
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uite deviendraient plus habiles à s’entendre et à
vivre
heureux ? « Changer la vie », criait l’enfant Rimbaud ! Et les intell
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ésarroi de l’époque ». Nous avons l’impression de
vivre
dans un chaos sans cesse croissant, dans un maquis de contradictions
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n ne peut garder seul ses colonies. Aucun ne peut
vivre
en autarcie économique, ni commercer comme il l’entend. Aucun donc n’
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est ainsi : incapable d’être satisfait et de bien
vivre
quand ses besoins physiques sont seuls comblés. (Sinon, les occupants
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. (Sinon, les occupants de nos prisons modernes «
vivraient
» mieux que les deux tiers du genre humain, sous-alimenté mais en lib