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; et sous-consommation : inaptitude des masses à
vivre
des valeurs qu’on leur transmet, soit par la presse, soit par l’école
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sont vraiment la mesure commune qu’en tant qu’ils
vivent
dans les divers idiomes vulgaires et garantissent leur régularité. Da
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ffet le symbole agrandi d’un désespoir qu’il sent
vivre
dans tous les cœurs. L’homme d’aujourd’hui méprise les religions. Il
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nes extérieures, à des ambitions inhumaines. Nous
vivons
à l’âge des mots d’ordre. On peut penser que c’est une espèce de prog
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s faits. Considérons les temps, les lieux où nous
vivons
, la situation précise qui nous est faite, et l’appel concret qui en r
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e force. On a touché le fond de la misère, on l’a
vécue
, on a cela derrière soi, mais elle reste encore l’aiguillon d’une ang
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une situation désespérée qui fut notre douceur de
vivre
, mais qui sera la honte de notre mort si nous n’y portons des mains f
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ir pour quelques lustres une espèce de douceur de
vivre
, à l’usage d’une classe restreinte. Mais le temps vient où les résist
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des instituteurs et des comitards. Faute d’avoir
vécu
dans le peuple, l’intellectuel d’aujourd’hui croit retrouver dans les
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e, c’est l’écho des erreurs dont il a cru pouvoir
vivre
lui-même et dont il faut désespérer qu’il guérisse jamais, maintenant
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t de l’éloquence électorale. Si l’on se mettait à
vivre
sa morale, il n’y aurait plus de morale ; où irait-on ! Pourtant l’on
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hique comme la garantie d’une certaine douceur de
vivre
. Penser devint ainsi l’art de ne rien affirmer de décisif. Admirable
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actère permanent de l’anarchie dans laquelle nous
vivons
nous rend son examen relativement aisé. La pensée sans douleur, en ef
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l’étatisme qui paraissait le nier. Les idéalistes
vivaient
à l’abri du réel ; le réel se révolte et les met en question ; alors
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voudra ! J’aurai du moins gagné ma mort. J’aurai
vécu
. Le sort du monde n’est pas dans les fatalités. Il est aux mains des
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a simplement oublié que ceux qui font l’Histoire
vivent
contre leur époque, et utilisent leurs déterminations pour des fins q
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acité les inventions instituées par l’homme. Nous
vivons
d’elles, même si nous les nions. Nous vivons d’elles, même et surtout
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Nous vivons d’elles, même si nous les nions. Nous
vivons
d’elles, même et surtout lorsqu’elles attaquent nos habitudes les plu
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ant comme si tu allais mourir, comme si tu allais
vivre
: une agonie ! Il faut poser cette limite, il faut y tendre sans relâ
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e ou religieuse qu’on voudrait. Mais l’individu a
vécu
. Ce mythe n’est plus à craindre que sous sa forme négative : le colle
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nne ce mythe qui vive en nous et dans lequel nous
vivions
, jusqu’au point que chacun de nos gestes — oui, même ce signe de la m
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cte. Mais le temps dont je parle ici est le temps
vécu
, souffert, subi, qui naît de l’absence d’acte, — et que l’acte détrui
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a seconde partie de ce livre à l’île de Ré, où je
vivais
de la manière que je décris dans mon Journal d’un intellectuel en ch