1 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
1 omité Hays, — le jeune Américain, s’il trouve une voie saine et quelques disciplines praticables, sera vraiment le génie du
2 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
2 le gouvernement de l’Europe. Il n’y a pas d’autre voie possible et praticable. Les USA ne sont pas dirigés par une assemblée
3 1947, Articles divers (1946-1948). La liberté dans l’amour [Réponse à une enquête] (novembre 1947)
3 liberté », dit la chanson. Mais il arrive que les voies et moyens que nous imaginons pour le réaliser — religions, éthiques,
4 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
4 uf… Où irons-nous ? Seul le fédéralisme ouvre des voies nouvelles. Seul il peut surmonter — voyez la Suisse — les vieux confl
5 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
5 aire, ce qui m’effraye encore un peu, bien que je voie venir le jour où la réaction la plus noire sera le dernier refuge des
6 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
6 re que des phrases banales : « Viens ici qu’on se voie un peu. Eh bien ! tu n’as pas trop changé ! » Mais d’un coup d’œil, v
7 1948, Articles divers (1946-1948). Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)
7 Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)s Il faut être aussi rationnel que possibl
8 loin. Ce n’est pas une erreur qui doit ouvrir la voie . Mais essayons de ramener l’attention sur cet obstacle tant de fois r
9 estin d’un homme, — mon destin ? C’est ici que la voie prend naissance. Tu as un destin si tu es distinct. Tout homme, dès q
10 olé par le sort, entre en superstition : c’est sa voie clandestine. L’explorateur va découvrir au loin ses propres amulettes
11 a tête a passé. Car si je suis unique, il est une voie qui n’est tracée que pour moi seul, et que seul je pourrai deviner co
12 rée sous les pas qui la suivent. (Par toute autre voie sûre et connue, où que j’arrive, je me perdrais en route.) Dans l’in
13 rs. ⁂ Que chacun donc découvre ses symboles et la voie que lui seul peut frayer pour s’approcher des mystères communs. Mais
14 anaux, écluses, ou signaux éprouvés, jalonnant la voie clandestine, fleurs de cette « rhétorique du rêve » que Jean-Paul a n
15 e superstitieux va loin, s’il est grand : dans la voie de l’incomparable, il va jusqu’au bout de lui-même. ⁂ Erreur commune 
16 c déterminé ? Nous n’aurions plus qu’à suivre une voie rigide, fixée de toute nécessité par le Destin ? Erreur commune et do
17 même question : c’est à savoir s’ils suivent leur voie ou s’ils l’inventent ? S’ils ne l’inventent qu’en la suivant telle qu
18 utre en joue, et s’en jouent. s. « Notes sur la voie clandestine », Cahiers de la Pléiade, Paris, n° 3, hiver 1948, p. 57-