1
l’acte exprime l’amour, s’il édifie. Pourtant la
voie
chrétienne n’est pas tout l’Occident. Elle prend son point de départ
2
l’« Aventure occidentale de l’homme ». Certes la
voie
chrétienne n’y est pas seule active, mais elle fut décisive et reste
3
me devenir vitales. L’Aventure s’approchant de la
Voie
, l’une doit intégrer l’autre (mais au prix de sacrifices dont il n’es
4
ée très tardivement, dans des formes et selon des
voies
presque toujours suspectes aux yeux de l’orthodoxie. Notre éthique se
5
cevoir et à réaliser.) Le mot posé, quelle est la
voie
de l’amour en l’homme ? L’expérience méditée, — et que j’espère banal
6
e l’abstraction et de l’audace logique, semble en
voie
de rejoindre en perspective l’extrême de l’amour intuitif : la vue my
7
phes, la vocation missionnaire des croyants ? Les
voies
terrestres sont barrées. Restent les voies de l’Océan. C’est ici que
8
? Les voies terrestres sont barrées. Restent les
voies
de l’Océan. C’est ici que l’aventure mondiale de l’Europe prend son d
9
ieu géométrique, le carrefour naturel des grandes
voies
de communication maritimes et surtout aériennes qui ont permis au gen
10
ports les plus nombreux, le plus riche réseau de
voies
d’eau (fleuves et canaux), la plus grande densité de villes et de vil
11
lées, des châteaux et des usines, des routes, des
voies
ferrées et des canaux, des forêts et des champs quadrillés — partout
12
minent notre marché du livre, sans que personne y
voie
la preuve d’une sanctification quelconque de notre époque. Reste que
13
e, la famine et la guerre déjà neutralisées ou en
voie
de l’être, restent les disciplines contraceptives et certains phénomè