1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 quai. Pendant ce temps, l’express avait changé de voie . Dans la bleuâtre obscurité, nul écriteau lisible et nul visage recon
2 nte et bousculée dans le dédale des passages sous voie encombrés de sacs de sable, au long d’étroits couloirs où je coudoyai
2 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
3 . Et pour l’atteindre, il n’est plus qu’une seule voie  : celle qui sortant de Genève par un étroit goulet entre les postes d
4 vous faire sentir qu’il n’a guère envie qu’on le voie . Un pays qui se barricade — neuf heures à la douane d’entrée, et l’on
3 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 viens. Une falaise de granit se dresse près de la voie . Nous la passons. Sur son autre versant s’étale un cimetière d’autos
6 ’homme privé de l’Esprit, l’une des entrées de la Voie Négative et du Désert dont parlent les mystiques ? Homéopathie spirit
4 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 ais senti mieux salué. ⁂ Le ciel entier est une Voie lactée entre les branches véhémentes et les troncs nus des grands euc
5 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
8 pies prévues par l’avant-guerre entreront dans la voie des réalisations. Déjà l’on met en vente la « bicyclette du ciel », u
6 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
9 ées par une époque qui semble avoir peur qu’on la voie . Il est un grand espoir très vague encore qui m’a paru se libérer dan