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ns dans leur vocabulaire) d’où procèdent, par les
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détournées que l’on sait, le lyrisme et le roman modernes, lesquels n
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ée très tardivement, dans des formes et selon des
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presque toujours suspectes aux yeux de l’orthodoxie5. Notre éthique s
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, même dans les années où Ulrich avait cherché sa
voie
seul et non sans insolence, le mot de sœur avait été chargé pour lui
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? Mais ici, le roman de Musil s’engage dans deux
voies
divergentes : il nous en reste des fragments inégalement poussés, inc
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rme à la logique du Mythe, pour s’engager dans la
voie
difficile d’une recherche de l’amour mystique : c’est ce qu’il nomme
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rpréter comme un hommage rendu à son libéralisme,
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dans ce geste une offense à son autorité. Normal enfin que le syndica
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rle un psaume de David, n’éclaire pas au loin une
voie
tracée d’avance : non, elle est « à mes pieds » seulement, elle ne pe
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pas seulement comme signe et garantie de la vraie
voie
, mais plus radicalement, comme la voie même… 22. Cette image du sau
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e la vraie voie, mais plus radicalement, comme la
voie
même… 22. Cette image du saut me fait songer à la scène finale du b
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juanesque —, ils obtinrent, je ne sais par quelle
voie
, quelques indications sur le fameux symbole, le principe essentiel do
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é suppose donc une libération. Libération est la
voie
de Tristan. Sa passion veut aimer sans limites au-delà des formes et
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ent « magie à rebours », vous nous avez montré la
voie
de la personne, le passage vers l’esprit et vers la liberté, qui est
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urez-vous nous faire voir l’unité finale des deux
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? Nul autre mieux que vous, vous seul sans doute… Il n’est plus là. M
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le pense bien). « Écarte les choses, ô amant, ta
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est fuite ! » s’écriait saint Jean de la Croix. Écarte le prochain !
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es et de doctrines impératives, cependant que les
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de sagesse asiatiques sont seulement proposées, — à quelques-uns. Les
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ureuse. Mais l’Orient se contente de proposer des
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aux Renonçants (ou sannyasins) qui ont épuisé la coupe, ou la dédaign
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grands chevaux théologiques, mais chacun suit sa
voie
, son « svadharma », sa religion particulière. C’est pourquoi nos cont
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e à se’ situer de telle manière que la lumière se
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en lui, mais qu’en même temps le vrai moi de l’amant s’y découvre, au
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l participe au mystère du créé. Il a choisi cette
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, qu’il aille jusqu’au bout ! Pour lui la Réalité est dans l’individue
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cevoir et à réaliser.) Le moi posé, quelle est la
voie
de l’amour en l’homme ? L’expérience méditée — et que j’espère banale
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e l’abstraction et de l’audace logique, semble en
voie
de rejoindre en perspective l’extrême de l’amour intuitif : la vue my
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croyance magique ; mais aussi un progrès dans la
Voie
spirituelle, vers le détachement du concret par l’effet d’un désir dé