1 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
1 chée pour la première fois Ainsi Comme on vit mal comme on vit peu de temps au seul désir tant de corps refusés
2 ière fois Ainsi Comme on vit mal comme on vit peu de temps au seul désir tant de corps refusés au seul plaisi
2 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
3 ive, et de l’épouvantable désordre dans lequel il vit . ⁂ Contre une violence absurde, dénaturée et hypocrite, nous ne défen
3 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
4 ument à toutes les directives même si comme on le vit naguère, ces directives s’accompagnent d’un coup de pied au derrière.
4 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
5 s d’Europe — j’en ai reçu maints témoignages — de voir dans le début de votre article du 15 janvier une mise en question de
5 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
6 ? Les auteurs de Jeune Europe n’hésitent pas à le voir dans l’esprit libertaire et « personnaliste » de la France, tel que l
6 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
7 ns le plan de la personne qui est, nous allons le voir , le plan de la liberté créatrice ; que ce problème ne peut être défin
8 ir tout de suite le concret d’une telle doctrine, voyons d’abord quelles institutions elle nous oblige à combattre et à renver
9 liens, réduit à l’unité arithmétique, où l’a-t-on vu  ? qui l’a vu ? et comment existerait-il ? C’est pourtant sur cet homm
10 à l’unité arithmétique, où l’a-t-on vu ? qui l’a vu  ? et comment existerait-il ? C’est pourtant sur cet homme abstrait qu
11 utionnaire. Certains s’étonneront peut-être de la voir si peu romantique. C’est qu’il sévit actuellement, parmi certains gro
7 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
12 adiers et les embrigadés de toute farine que nous voyons parader en Europe devant ces dieux que l’on nomme, depuis peu, Masse
13 ront sans doute utile et astucieux de feindre d’y voir un « spiritualisme » dont leur matérialisme n’est que l’empreinte nég
14 nce, la qualité créatrice de la personne. Je n’en vois pas de plus haute dans notre ordre, ni de plus digne de conquête. La
8 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
15 paradoxe le fait humain : car si l’homme peut se voir perdu, c’est qu’il croit, c’est qu’il est dans la foi ; mais être dan
16 politique qui mérite le nom de chrétienne. Je la vois caractérisée par deux traits qui nous serviront de critères : d’une p
17 part des tentatives sociales ou politiques que je vois s’esquisser parmi nous me paraissent pécher par une vision insuffisan
18 rons encore les marxistes ! » Esprit, de même, se voit qualifié de fasciste par les gauches, et de bolchévique par les droit
19 ste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gauche, victimes de la confusio
20 e relativement aux jeunesses russes et fascistes, voir R. Dupuis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plon). Sur les problèmes géné
21 du temps considérés dans la perspective de l’ON. Voir Daniel-Rops : Éléments de notre destin (Spes). Une dizaine de volumes
9 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
22 faits. On les connaît bien dans le détail. Je ne vois pas qu’on ait tiré de leur ensemble aucune conclusion pratique, encor
10 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
23 qui vient nous dire, en toute simplicité, qu’il a vu l’événement, et qu’il en est encore tout remué. On le croira sans pei
24 venter ce qu’il raconte. Cela donne envie d’aller voir . Or, je tiens qu’il n’y a rien de plus urgent pour nous que d’aller v
25 l n’y a rien de plus urgent pour nous que d’aller voir ce qui se passe dans l’œuvre du Danois prophétique, ressuscité par l’
26 aux grands de mépriser l’esprit. Curieux aussi de voir avec quelle facilité des incroyants ont fait grief à Kierkegaard de n
27 t, c’est la foi qui soutient tout. Mais peu l’ont vu . 8. « Le christianisme du Nouveau Testament n’existe pas », voir Con
28 hristianisme du Nouveau Testament n’existe pas », voir Conclusion. 9. Dans le livre de Georges Brandès : Søren Kierkegaard,
11 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
29 es distingue. Car si l’œil se conforme à ce qu’il voit , il sait aussi qu’il voit, et mesure la distance. Ainsi, franchissant
30 se conforme à ce qu’il voit, il sait aussi qu’il voit , et mesure la distance. Ainsi, franchissant les frontières, il les dé
31 donc cette parenté des apparences ? Si la vision voit le visage, et de la sorte, s’en distingue, rappelons-nous qu’elle a s
32 rd’hui qu’ils relèvent la tête, le psychologue se voit en mauvaise posture : car les uns le méprisent, et les autres — le ma
33 toire », et tout, en l’homme dépend de la pensée. Voir , c’est porter un jugement distinctif. Mais, alors, deux questions se
34 honneurs qu’il avait empruntés, le psychologue se voit restitué dans son rôle de simple observateur. Étant donnée sa positio
35 ntemple un paysage. S’il est un grand poète, il y verra des mythes, et s’il est un littérateur de l’espèce par exemple d’Amie
36 ttérateur de l’espèce par exemple d’Amiel, il n’y verra qu’un état d’âme ; s’il est un général, il ne verra qu’un champ de ma
37 rra qu’un état d’âme ; s’il est un général, il ne verra qu’un champ de manœuvres ; s’il est un ingénieur, un territoire à exp
38 iter ; s’il fuit la société de ses semblables, il verra des retraites solitaires, et s’il la cherche, un désert qu’il faut fu
39 mme doit y entrer ou qu’il le quitte, ou qu’il le voit par la portière de son wagon, le paysage n’est pas le même ; car le r
40 . La vision est métamorphose (métaphysique) Voir , c’est juger en même temps que former : — c’est transformer. Dis-moi
41 e former : — c’est transformer. Dis-moi ce que tu vois , je te dirai qui tu deviens. Car celui qui regarde se transforme. On
42 « Nous serons semblables à lui parce que nous le verrons tel qu’il est. » (I. Jean 3.2) « L’homme nouveau se renouvelle dans l
43 r l’Esprit. » (II Cor. 3.18) — « Aujourd’hui nous voyons comme dans un miroir et d’une manière obscure, mais alors nous verron
44 miroir et d’une manière obscure, mais alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaît
45 transcendance de l’éternel, répondent : celui qui voit Dieu, meurt. Car à la suprême vision correspond la suprême transforma
46 u commencement est la lumière (physique) On ne voit que ce qui est vu. Mais peut-être faut-il aller plus loin : on ne voi
47 a lumière (physique) On ne voit que ce qui est vu . Mais peut-être faut-il aller plus loin : on ne voit rien que ce qui
48 u. Mais peut-être faut-il aller plus loin : on ne voit rien que ce qui voit. Car seule est visible la forme, et la forme naî
49 t-il aller plus loin : on ne voit rien que ce qui voit . Car seule est visible la forme, et la forme naît du mouvement. On ne
50 forme, et la forme naît du mouvement. On ne peut voir ainsi que les choses qui se meuvent, ou qui sont mues, — en un mot :
51 perdent les astres morts. Donc, tout ce que nous voyons a vu ; et tout, d’abord, a été vu par la lumière créatrice. « L’œil n
52 les astres morts. Donc, tout ce que nous voyons a vu  ; et tout, d’abord, a été vu par la lumière créatrice. « L’œil ne ver
53 ce que nous voyons a vu ; et tout, d’abord, a été vu par la lumière créatrice. « L’œil ne verrait pas le soleil s’il n’éta
54 rd, a été vu par la lumière créatrice. « L’œil ne verrait pas le soleil s’il n’était de nature solaire », dit Goethe. Une telle
55 toujours pénétrer sous la forme, plutôt que de la voir , et qui se perd dans un bavardage infini, dans ce vide ou cette « pro
56 e ceux que j’ai rencontrés ne m’ont peut-être pas vu  ».28 D’autres fois, c’est la claire connaissance de la béatitude vis
57 la nature de l’amour et sur celle de la vision ? Voir Dieu, c’est se transformer au sens le plus violent et le plus impossi
58 e plus violent et le plus impossible d’ailleurs ; voir Dieu c’est aller à lui. Nous ne voyons que ce qui nous regarde : voir
59 d’ailleurs ; voir Dieu c’est aller à lui. Nous ne voyons que ce qui nous regarde : voir Dieu, c’est être regardé par lui. Mais
60 r à lui. Nous ne voyons que ce qui nous regarde : voir Dieu, c’est être regardé par lui. Mais alors, c’est aussi être aimé,
61 personne ne vous aime, s’il ne commence par vous voir , et personne ne vous voit, si ce n’est celui qui vous aime. Ah je vou
62 il ne commence par vous voir, et personne ne vous voit , si ce n’est celui qui vous aime. Ah je vous ai trop tard aimée, beau
63 ètes, des savants et même quelques indiscrets. Je vois bien ce qu’on peut m’opposer : « Nous marchons par la foi, non par la
64 e vocation, forme informante de notre être et que voient « les yeux de la foi », il semble que notre visage n’en soit qu’une m
65 ins. Où trouver cette force et ce maître, comment voir ce modèle idéal qui saurait nous rendre capables d’affronter la réali
66 nos questions ? « Si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons avec persévérance », dit encore Paul. Cette att
67 u’est-ce que l’homme de l’esprit, sinon celui qui voit l’esprit dans son action, et le prend sur le fait de la métamorphose 
68 ntièrement spirituel, que tout ce qui est réel se voit . Ce qui signifie plus modestement, pour nous tous, hommes dont le péc
69 oire que cette pensée ait épuisé sa vérité. Je la vois même promise à une prochaine renaissance. Mais il importe d’en marque
70 ême La Bruyère, physionomiste par tempérament, ne voit partout que le costume, la grimace, ce qu’on nomme « l’extérieur » de
71 sont toujours prêts à en raconter, ne savent pas voir les visages32. Le moraliste voit des types, le physionomiste, des cr
72 , ne savent pas voir les visages32. Le moraliste voit des types, le physionomiste, des créatures. Mais nous vivons dans un
73 e chez Goethe. (Souvenons-nous de son Prométhée). Vit -on jamais pareille faculté d’incorporer les affections de l’âme ? Pas
74 e Nietzsche, non moins que ceux de Goethe, surent voir en toutes choses « le charme éternel » qui les crée. Ouvrez donc au h
75 rent qu’il n’y a personne qui soit capable de les voir , sous leur musique) (p. 198). Ou ceci dans le Gai Savoir : J’ai reg
76 pentes habitées ; enfin je finis par me dire ; je vois des visages de générations passées — cette contrée est couverte par l
77 J’ai toujours devant les yeux le constructeur, je vois comme son regard se repose sur tout ce qui, près et loin, est constru
78 athoustra ! Une œuvre plus concrète a-t-elle donc vu le jour depuis les temps du Livre de Job, de ce profond traité théolo
12 1935, Articles divers (1932-1935). Les autres et nous : I — Esprit (avril 1935)
79 abstraites, nous les avons cent fois dénoncées. ( Voir notre Lettre à Hitler par exemple.) Mais ce n’est pas en exauçant des
13 1935, Articles divers (1932-1935). Lettre à la rédaction de Commune (mai 1935)
80 cistes » : je parlais à un congrès d’étudiants et voyais dans la salle des délégués marxistes et hitlériens qui étaient nos ca
14 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
81 et (15 juillet 1935)q Certains voudraient nous voir prendre position dans la lutte qui met aux prises un Front dit « nati
82 s longtemps : Erreur sur la tactique : lorsqu’on voit la gauche et la droite proclamer la priorité du « plan d’action » sur
15 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
83 eois et la noblesse : cela est neuf et vrai, bien vu et bien dit, plein d’une verve gentille, et aussi, disons-le, de cour
84 arez leur « écriture », c’est amusant. Et je leur vois , devant certains échecs qu’un peu de soin ou de calcul médiocre eût é