1
», mais seulement, comme le dit Keyserling, des «
voisins
inévitables » qu’il fallait, selon les cas, envier ou mépriser. Ainsi
2
re nos ennemis et de ne pas tomber dans le marais
voisin
, dont les hôtes n’ont cessé de nous blâmer d’avoir constitué un group
3
rocher, tout de même, d’être un danger pour leurs
voisins
. Moi. — Bon. Admettons. C’est là que nous en étions restés. Je vous
4
ndre du premier coup. Voici donc une formule très
voisine
des nôtres, mais qui est de Paul Valéry : « Le pouvoir n’a que la for
5
res par un homme qui connaisse la langue des pays
voisins
et l’esprit de leurs institutions. Mais ceux qui veulent des technici
6
ne suppose pas, en France, la connaissance de nos
voisins
: elle ne suppose que la lecture des journaux. (Bien sûr que sous cet
7
inisation » de l’Allemagne par des arguments très
voisins
de ceux qu’utiliserait Staline pour justifier son « américanisme ». I
8
our, il se voit obligé de faire appel au sénateur
voisin
, dont le domaine cultivé par des esclaves (non soumis aux obligations
9
: « autarchie » qui fait de l’appauvrissement du
voisin
la cause même de l’enrichissement national. Une fois de plus, la logi