1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 ux dire féconds, irritants, ou stériles) pour mes voisins aussi bien que pour moi. Du 10 au 17 novembre 1933 Pour parer a
2 eux-pièces, que l’on souffre de l’inquisition des voisins . Ici c’est dans la rue seulement, et c’est en somme moins énervant, e
3 plus normal. 20 novembre 1933 C’est chez le voisin de la mère Aujard dite Ugénie que j’ai acheté mon tonneau de vin. Ce
4 ite Ugénie que j’ai acheté mon tonneau de vin. Ce voisin s’appelle Renaud, comme la majorité des habitants, Renaud-Mellouin. I
5 ir prolonger en pensée notre marche jusqu’au pays voisin . Cette liberté insulaire est une liberté négative. Elle nous met à l’
6 racas ou simplement de la musique moderne, — sans voisins pour taper à la paroi ou pour nous faire des scènes, conventionnelles
7 pas combattre les religions, comme le prétend le voisin , « car je les respecte toutes, les religions, sauf quand elles vienne
8 Charles, comme l’autre fois ! » Poussés par leurs voisins , trois hommes se lèvent en haussant les épaules pour s’excuser de se
9 délient. « Il a bien parlé, hein ? », me dit mon voisin pendant que je lui donne du feu. C’est un petit maigre en casquette,
10 ’entrevoyais cette origine dans les propos de mon voisin au sortir de la conférence. Cet homme trouvait qu’il n’y avait rien à
11 , et par définition inefficaces. L’opinion de mon voisin après la conférence, j’ai pu croire que c’était l’opinion d’un nigaud
12 e dire — jamais tout à fait pareille, et pourtant voisine . À défaut de conclusion nette, essayons de résumer les faits : 1 — L’
13 ite obtenu des résultats supérieurs à ceux de ses voisins , et à moindre fatigue. Il y a peut-être d’innombrables petits faits d
14 bicyclette ou en charrettes, de tous les villages voisins . Du haut de la colline où nous étions tous réunis pour déjeuner, on d
15 tuelles. Nous ne savons plus comment parler à nos voisins , nos échanges sont lourds et naïfs, incertains et souvent absurdes, l
16 prier à voix basse d’aller attendre dans la pièce voisine . J’attends je ne sais combien de temps, je n’ai pas de montre, mais c
17 d on en est là. Quand on en est à ne plus voir le voisin , la situation n’est plus humaine, elle ne pose plus de questions util
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
18 ois déjà ce qu’ils appellent ici se nourrir : nos voisins n’ont sur leur table, quand on va les voir à midi, que des châtaignes
19 st malade. Je trouve à la cuisine sa fille et une voisine . Elles se plaignent du froid. Le fourneau est rouge, mais la porte do
20 petit hôtel à Saint-Jean-du-Gard, expliquait à sa voisine qui paraissait malade : « Tu demanderas bien un espécialiste rappelle
21 e ne fiche rien. Mais ce qui trouble un peu notre voisin , c’est qu’à deux reprises déjà, s’étant couché fort tard, il a vu ma
22 efuse. Alors ils ne sont plus pour nous que des «  voisins inévitables », selon le mot de Keyserling, et non pas du tout des pro
23 ces d’apparaître deux fois insupportables : comme voisins toujours insuffisants d’abord, et comme rappels constants à l’isoleme
24 ce culte du jeune guerrier à quoi certains de nos voisins sacrifient davantage que leur vie : leur dignité de personnes, — et c
25 cter les vieux pendant qu’ils vivent ? — Déjà les voisines arrivent, par petits groupes, parlant beaucoup. 9 mai 1935 Me v
26 être à l’écart du monde, — et de n’être lié à son voisin que par le souvenir de vieilles offenses… Ce n’est pas seulement défa
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
27 et oublier ce que l’on voit. Août 1935 Le voisin intolérable. — En face de moi, derrière mon journal, il y a un être d