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onde nouent leur effroi je t’appelle à grande
voix
sans un son sans un écho le silence autour de toi déroule ses l
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e différence qu’au sein de partis si nombreux, sa
voix
n’aurait aucun effet… Dans la perspective que nous considérons ici, l
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s d’hiver, sans gîte, sans habits, sans pain, une
voix
étreignait mon cœur gelé : “Faiblesse ou force : te voilà, c’est la f