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e. Dans une communauté, on connaît les gens et la
voix
d’un homme peut s’y faire entendre. Aussi ces communautés doivent se
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ère que chaque citoyen puisse y faire entendre sa
voix
; mais aussi, « à la taille de ses problèmes » — qui sont « à géométr
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ler ayant perdu en quelques mois deux millions de
voix
, à la suite d’une entente avec les communistes le temps d’une grève à
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e se réunir sur l’agora et de pouvoir entendre la
voix
d’un homme « qui ne serait pas nécessairement Stentor », précise Aris
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re entendre à l’échelle nationale, n’ayant que sa
voix
naturelle ? Il est évident qu’un Mussolini en 1922 ou surtout un Hitl
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obus — « de toute façon, ça n’y changera rien, ma
voix
ne compte pas ». Voilà bien le méfait majeur des trop grandes dimensi
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aillé à l’Office of War Information, section « La
voix
de l’Amérique parle aux Français », puis j’ai écrit encore deux ou tr
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iraient 3 départements français ? » De nombreuses
voix
dans la salle, formée de militants fédéralistes, ont répliqué : « Qu’
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ui l’a comme frappée de stupeur interdite, par la
voix
et l’action d’un chrétien à la fois libertaire et solidaire, Lech Wal
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cript-writer » des émissions quotidiennes de « la
Voix
de l’Amérique parle aux Français », dont les trois announcers — comme
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’envoyer aux États-Unis où il travailla pour « La
Voix
de l’Amérique » en 1942 et 1943, enseigna à l’École libre des hautes
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est responsable qu’au sein d’une communauté où sa
voix
puisse porter et où n’importe qui puisse lui répondre sans avoir l’or
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e se réunir sur l’agora et de pouvoir entendre la
voix
d’un homme « qui ne serait pas nécessairement Stentor », précise Aris
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veux dire une communauté assez petite pour que la
voix
de l’homme puisse s’y faire entendre. Vous savez que c’est le plus vi
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ville ne soit pas plus grande que la portée de la
voix
d’un homme criant sur l’agora. À Manhattan, vous pouvez toujours crie