1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 qu’il me semble entendre pour la première fois la voix d’un de nos aînés, interrogeant notre destin, lui poser en face des q
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
2 ance. L’excès verbal de Werther couvre d’abord la voix intérieure, la renie même bruyamment. C’est là le fait d’une âme qui
3 tinguer dans ce vertige la réelle puissance d’une voix volontairement assourdie. Le silence de Goethe n’est pas moins danger
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
4 s de montre, mais c’est très long. Aucun bruit de voix dans la salle de la caisse. Le client est-il sorti ? Quel peut être l
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
5 s, jusqu’aux confins du monde, et l’on perçoit sa voix dans chaque dialecte ». Nous l’avons perçue de nos jours, dans le dia
5 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
6 n l’appelait dans ce groupe.) Gide s’éclaircit la voix pour observer que le jeu devenait bien personnel, et proposa des bout
6 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
7 mbres de l’assemblée dépérissent lentement ; leur voix devient faible, on finit par ne plus l’entendre. Au contraire, d’autr