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érée, déchirante et délicieuse comme les secondes
voix
de Schumann. Mais la crainte me prend qu’on aille chercher en ces rem
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et menaçantes. Mais la musique est si légère, la
voix
de la jeune fille si transparente : la mort même en devient moins bru
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itter… — C’est une chose singulière, prononce une
voix
, à côté de moi, c’est une chose singulière que le pouvoir de cette mu
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salon en salon ; et, plus loin que la rumeur des
voix
, orchestre du grand monde qui accorde, s’égarent parfois dans un sile
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st alors, d’un balcon qui domine les groupes, une
voix
qui descend avec un tremblement d’étoile. Richard Strauss a levé la t
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ais non la mélodie d’une danse, au-dessus, et des
voix
qui passent. Allées et venues dans la fête invisible qui m’environne,
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ournoie, éclair de roses sur un seuil. C’était la
voix
de la comtesse Adélaïde, — je la connais à cet écho de joie dans mes
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vres pour me dire une phrase à l’oreille, de leur
voix
trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées, mais je sais
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phrase à l’oreille, de leur voix trop naturelle,
voix
de jour. Paroles aussitôt oubliées, mais je sais que la nuit va s’éte
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ne des opéras. — « Comme elle est laide, mais une
voix
à faire mal de bonheur, mais laide !… ah ! magnifique ! », dit quelqu
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lançant vivement la tête. Quand elles parlent, la
voix
un peu rauque, voluptueuse ; quand elles chantent, les moires et l’on
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lus haute poésie. Mais dans ce siècle, où tant de
voix
l’appellent, combien sont dignes de s’attendre au don du langage sacr
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fêlées et l’accompagnement dans les feuillages de
voix
fausses mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont
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pas effrayer le gibier sensible au moindre son de
voix
humaine. (Tout cela c’était pour préparer quelque battue prochaine.)