1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 c. » La chevelure s’agite, les bras s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des instituteurs qui s’est tenu
2 nsonges, on n’applaudira guère que le son de leur voix , ou le parti qui les délègue. Il resterait à expliquer cet état de ch
3 ère de la cour, cale son bâton, et commence d’une voix posée, monotone et basse : — C’était le 26 de juillet, l’anniversaire
4 s de montre, mais c’est très long. Aucun bruit de voix dans la salle de la caisse. Le client est-il sorti ? Quel peut bien ê
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
5 ou de soi-même, quand on prêche et proclame d’une voix pathétique : tout est perdu ! il est bon de se souvenir que tout est
6 t au-dessous de notre chambre, et leurs éclats de voix nous ont plusieurs fois réveillés. 7 mai 1935 Alors, Madame Cal
7 j’ai dits, elle a pleuré, gémi d’une toute petite voix fausse, et m’a beaucoup remercié. Bref, il m’a semblé que tout s’étai