1 loire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un mythe nouveau prend son essor au sein même de la cata

2 d’une marque d’auto. Et ces rires, ces éclats de voix  ! Mais il y a depuis un moment une musique de radio on ne sait d’où v

3 es au début, et maintenant, planante et pure, une voix de femme se détache… Tout d’un coup, cette ivresse ailée, tout d’un c

4 ma radio qui se trouvait arrêtée sur Londres. Une voix nasille, puis se précise à mesure que l’appareil s’échauffe. Je renfo

5 l’appareil s’échauffe. Je renforce. Quelle belle voix grave… Et tout d’un coup, le coup au cœur ! « … moi, général de Gaull

6  Roosevelt emporte l’État de New York par 247 810 voix de majorité. » C’était l’élection assurée. Des centaines de milliers

7 es, et elle clamait le Star-Spangled Banner d’une voix de salutiste hallucinée… Cette réélection de Roosevelt sera sans dout

8 fond de la grande salle. Il vient nous prêter sa voix noble, agrémentée d’un léger sifflement, mais il garde pour lui son p

9 bas — des oreilles clandestines entendront : « la Voix de l’Amérique parle aux Français. » Il est temps que je recueille et

10 décroche mon téléphone. — Messages pour moi ? La voix d’une secrétaire anonyme répond (trop vite, me dis-je, c’est sans dou

11 plus tard, je rappelle. Cette fois-ci, c’est une voix chantante et optimiste : — Oui, monsieur, des masses de messages ! Le

12 es acceptons-nous, comme des moutons, sans qu’une voix ne proteste ? Février 1946 Vers le milieu du xxe siècle, les h