1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 ieux souvenirs. Car au fond de notre Occident, la voix des bardes celtes lui répondait. Je ne sais si c’était un écho, ou qu
2 rche. Et il nous trouve lorsque nous percevons sa voix , et que nous répondons en obéissant. Dieu nous cherche et nous a trou
3 ait triste contenance ! (Marcabru.) Écoutez ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la lyre, si seulement vous
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
4 çois s’enfuit dans la campagne, chantant à pleine voix des vers français… Le parfait dénuement avait fait de son corps l’hum
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
5 t les « illustres bardes », qui chantèrent d’une voix grave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts, enchantem
6 étient le pouvoir d’harmoniser la plainte de deux voix , et d’en faire une plainte unique où déjà vibre la réalité d’un indic
7 Führer qui détient les secrets d’initiation à la voix divinisante. 178. Héritage, dot, « situation » des conjoints, relati