1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
1 ieux souvenirs. Car du fond de notre Occident, la voix des bardes celtes lui répondait. Je ne sais si c’était un écho, ou qu
2 rche. Et il nous trouve lorsque nous percevons sa voix , et que nous répondons en obéissant. Dieu nous cherche et nous a trou
3 ait triste contenance ! (Marcabru.) Écoutez ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la lyre, si seulement vous
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
4 çois s’enfuit dans la campagne, chantant à pleine voix des vers français… Le parfait dénuement avait fait de son corps l’hum
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
5 nt les « illustres bardes » qui chantèrent d’une voix grave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts, enchantem
6 étient le pouvoir d’harmoniser la plainte de deux voix , et d’en faire une plainte unique où déjà vibre la réalité d’un indic
4 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
7 ulement voir la bien-aimée, entendre le son de sa voix  ? Quelle est donc la figure de l’aimée, qui recèle tant de trésors ch