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Paul Colin, Van Gogh (août 1925)c Le nouveau
volume
de la collection des « Maîtres de l’art moderne » est au moins le cin
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i le sont moins. On n’écrit pas un roman en trois
volumes
sans y laisser des maladresses et des négligences. Mais on ne demande
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peut-être trop nombreuses — qui composent ce gros
volume
. Les points de vue sont si différents, si différentes même les conclu
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nus des maisons de correction se jetaient sur ces
volumes
« au travers desquels ils respiraient l’air du monde ». N’en ferons-n
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peintre se montre plus occidental dans les beaux
volumes
pleins de ces paysages, que dans ses dessins, dont Kikou Yamata a dit