1 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
1 vrage, parce que chacune esquisse le contenu d’un volume de dimensions ordinaires. Le grand nombre des faits et des textes cit
2 exte assez peu convaincant, lorsqu’il s’agit d’un volume aussi dense. Douteux avantage d’ailleurs : on rougirait de le partage
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
3 tre risque que celui de voir le lecteur fermer le volume à cette page. (Et certes, le sens inconscient d’un tel geste n’est ri
3 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
4 symbolise tout le reste. Au cinquième et dernier volume de ce roman que l’on n’ose nommer un roman-fleuve, puisqu’il n’est pa
5 lémique : « Quoiqu’il traite de l’amour, ce petit volume n’est point un roman, et surtout n’est pas amusant comme un roman. C’
6 s poètes français et les troubadours, et de trois volumes (anonymes) de mémoires sur Pétrarque. 143. « On a de Sade : Juliette